Quatrième de couverture :
Fitz est le bâtard du prince Chevalerie, le futur roi de Castelcerf. Ce dernier, qui porte bien son nom, abandonne la place de roi servant au profit de son jeune frère Vérité (qui porte bien son nom également, comme tous les personnages de cette histoire en fait). Fitz va donc être élevé par Burrich dans l’écurie jusqu’à ce que son grand-père, le roi Subtil, le remarque et ne décide de l’éduquer pour en faire son assassin royal. Fitz devra alors apprendre l’art de la discrétion et de l’assassinat, sans que personne ne sache qu’il tue pour son roi. Il sera formé par Umbre, un vieil assassin qui vit reclus dans le château et dont tout le monde ignore l’existence. Plusieurs personnages graviteront autour de lui : Molly, la fille dont il est amoureux et qui lui permet de penser à autre chose qu’aux complots du château, Burrich, l’ancien homme lige de son père, Vérité, son oncle gentil, compréhensif et qui regrette d’être roi servant, Royal, le jeune demi-frère de Chevalerie et de Vérité, qui tentera d’écraser quiconque l’empêchera d’atteindre la couronne, et enfin le fou du roi qui abreuvera Fitz d’énigmes, qui passera son temps à se moquer de lui et à protéger son roi.
Dans cette histoire, il y a deux magies :
-l’art : magie des rois. C’est une sorte de télépathie. Grâce à l’art, on peut communiquer à distance, suggérer par la pensée.
-le vif : magie des bêtes. Cela consiste à se lier à un animal. Ainsi, un vifier peut communiquer avec son compagnon de vif par la pensée. Cette magie est très mal vue et ceux qui la pratiquent sont pendus.
Fitz possède ces deux magies.
Aidé de l’art, du vif et de ses connaissances d’assassin, il devra survivre au château de Castelcerf ou certains l’aimeront et d’autres le haïront.
Bon admettons, en guise de quatrième de couverture, il s’agit plutôt d’un résumé glané sur le net… Parce qu’en effet, il ne s’agit pas ici d’un livre mais d’une série fort connue, de 13 romans…Une série franchement prenante, bien menée, pas du tout dans le style déjà vu… Avec des personnages très attachants. Mais alors Robin Hobb a réussi à me gâcher tout le plaisir de sa série en un seul tome. Le dernier évidemment. La fin est tellement conventionnelle qu’elle en est navrante. Après, cela ne gâche vraiment pas le plaisir pris dans les tomes précédents mais cela laisse un goût fade en bouche.
Néanmoins, il s’agit d’un coup de coeur et cette série est l’une des plus prenantes que j’ai lu depuis bien longtemps !