Et si Nicolas Bordas avait totalement raison quand il affirme à blended que « les marques ont l’opportunité d’améliorer le monde. »
Car, en cherchant à satisfaire la demande d’éthique et de vérité des consommateurs du 3ème millénaire, les grandes marques, les grands patrons d’agences de communication, ont tous réalisé une chose : il est possible de mettre de côté le cynisme et le mensonge, et de réellement œuvrer pour l’humanité.
Aucun prosélytisme ici, la simple constatation qu’un gouvernement cherchant à modifier le monde doit recevoir l’accord des citoyens, des autres nations, des instances internationales, passer outre les vétos, tenter d’accorder les législations des différents pays… Une ONG ayant le même objectif se défait de quelques contraintes, mais doit toujours composer avec la politique et le droit.
Alors qu’une marque ne doit rendre de compte qu’à sa comptabilité (et donc indirectement à ses actionnaires), sauf qu’aujourd’hui, les marques idéologiques et humanistes, affichent les meilleurs résultats.
Nouvelle preuve de cet activisme avec la 1ère édition des Global Impact Awards organisés par Google qui ont offert 23 millions de dollars à 7 initiative.
Charity: water, Consortium for the Barcode of Life, DonorsChoose.org, Equal Opportunity Schools, Geena Davis Institute on Gender in Media, Give Directly et Fonds mondial pour la nature (WWF).