Le calme et la tempête

Le calme et la tempête, voici le titre du nouvel album d’Olivia Ruiz qui est sorti dans les bacs hier.

Nous vous avions annoncé ici son retour pour notre plus grand bonheur. Un plaisir qui n’a nullement été déçu après l’écoute du disque dans son intégralité. Olivia est restée fidèle à son univers et elle est revenue à quelque chose de plus ressemblant à J’aime pas l’amour (2003) et La femme chocolat (2005).

Je vous ai déjà dit à quel point j’aimais cette artiste depuis ses débuts, mais je crois avoir assez de recul pour aussi notes les points négatifs quand il y en a. Et là, en l’occurrence, je n’en ai pas recensé, en toute objectivité.

Je retrouve ce que j’apprécie chez l’artiste, un vrai monde à elle, son phrasé et sa manière de couper les mots, sa voix reconnaissable, des titres énergiques (Question de pudeur), des vrais petits scénarios (Plus j’aime, plus je pique, Larmes de crocodile, Mon petit chat) ou encore des chansons plus calmes (Volver, Crazy christmas (en anglais), L.A Melancholy) .

Niveau musicalité, on note toujours la présence de scie musicale (si mon oreille ne me joue pas des tours) et par-ci, par-là, des petites notes qui nous font penser au cirque ou  une boite à musique, des mondes qui vont bien à l’artiste.

Nous avions pris nos places pour l’Olympia d’Olivia le 18 février prochain avec seulement un extrait du premier single My Lomo & Me (Je Photographie Des Gens Heureux), que vous pouvez écouter et visionner ci-dessous, et désormais, le temps va paraitre encore plus long pour attendre de pouvoir applaudir ces nouveaux titres sur scène.

A très vite sur scène pour la tempête chère Olivia Ruiz, car le calme de votre absence est toujours trop long.

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