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Vive les comprimés chimiques, l’empoisonnement officiel et légal dont un récent fait-divers à Sète vient de démontrer encore une fois les dangers.
Le 14 décembre est prévu le vote d’une loi européenne qui va assurer la mainmise des industries pharmaceutiques sur la santé de chacun d’entre nous. Il sera impossible de recourir à des méthodes douces ou naturelles qui ont prouvé leur efficacité depuis des millénaires. « L’antibiotique, c’est pas automatique »?
Cela s’inscrit dans la continuité de la fascisation de l’Europe. Dominer la santé, c’est d’une certaine façon dominer le monde : le médicament est une arme politique et non seulement financière.
1° Le lobby pharmaceutique: un lobby hyperpuissant
L’Amérique du Nord, le Japon, l’Europe de l’Ouest représentent 80% du marché mondial du médicament – l’Europe de l’Est, l’Asie et l’Amérique du Sud 19% – l’Afrique 1%. Exprimée par habitant, la consommation de médicaments est de 1 en Afrique, 2 en Asie, 5 en Europe de l’Est, 14 en Amérique du Sud, 40 dans l’UE (52 en France) et 80 pour l’Amérique du Nord.
Mais attention, le malade ça n’a rien à voir. Il faut payer. On a vu comment récemment le laboratoire Merck a cessé de livrer un anti-cancer à la Grèce pour des raisons financières.
Entre 1987 et 2007, le marché mondial du médicament a été multiplié par 3 engendrant des profits records évalués à 605 milliards de dollars et un taux de rentabilité médian de + 35 % !!.
En 2000, 14 laboratoires pharmaceutiques se classaient parmi les 100 premières entreprises mondiales, au 2e rang en termes de résultat net, mais de loin au 1er en termes de rentabilité, car l’industrie pharmaceutique a maintenu des marges plus importantes que toutes les autres industries.
Les plus gros laboratoires sont majoritairement américains comme Pfizer (Upjohn, Pharmacia, Warner-Lambert…), Merck Sharp and Dome (MSD), Eli-Lilly, Wyeth-Lederle, Shering-Plough, Abbott, Bristol-Myers-Squibb (BMS), Johnson et Johnson – européens comme Glaxo-Smith-Kline (Wellcome), Astra-Zeneca (ICI), Novartis (Ciba, Sandoz, Geigy), Sanofi-Aventis (Synthélabo, Rhône-Poulenc, Roussel, Hoechst), Bayer, Boehringer – japonais comme Takeda. (Source: »Savoirs et pouvoir, pour une nouvelle politique de la recherche et du médicament » – Auteurs : Debré B. et Even P. – Éditeur : Le Cherche Midi – 2004)
La France et ses habitants sont les 1er consommateurs de médicaments au niveau européen avec une dépense moyenne de presque 300 € en produits remboursables (devant l’Angleterre 200 €). Les produits phares sont les antibiotiques, les antidépresseurs et les médicaments pour lutter contre les problèmes de cholestérol…
De plus 35 % des médicaments sont prescrits par abus souvent en raison de campagnes de promotion qui tendent à forcer le porte monnaie de l’acheteur. Exemple frappant illustrant ce propos : aux Etats Unis les dépenses liées à la communication / promotion des médicaments (30 milliards USD) ont été plus importantes que les dépenses liées à la recherche (23 milliards de USD)….
En France la publicité étant interdite, les laboratoires, en proie à la mise sur le domaine public d’une partie de leurs médicaments (médicaments génériques) n’ont d’autre alternative que d’appeler des spécialistes qu’ils paient à prix d’or pour aller sur les plateaux de TV évoquer certains facteurs de risques et transformer en maladie des phénomènes naturels (calvitie, …) en maladie qui peuvent se soigner…. Et donc générer du chiffre d’affaires…
Cette situation révèle largement que le marché mondial du médicament est soumis à une concurrence de plus en plus féroce, et qu’il doit trouver dans notre quotidien de nouvelles pathologies souvent inventées, ceci dans l’optique de pouvoir créer de nouveaux traitements et d’engranger de nouveaux profits astronomiques…
En parallèle il est facile d’observer que certaines nouvelles pathologies arrivent sur le terrain accompagnées immédiatement du traitement qui leur sont associés… Coincidence ? Non. Un article vidéo vous le montrera cette semaine.
Le lobby de la pharmacie joue donc de la publicité plus que de l’efficacité qui n’en demande pas : d’après une étude publiée par le British Medical Journal, l’année durant laquelle on en a fait la publicité d’un produit, les visites chez le médecin pour l’affection traitée par le médicament augmentent de 79 %.
Le but des industriels de la pharmacie est donc clairement de faire de l’argent e tse prémunir contre la concurrence.
En Occident on juge de la qualité d’un médecin au taux de remplissage de sa salle d’attente, auxquels on prescrit des médicaments, alors qu’en Orient un taux de remplissage proche de zéro indique ici que le médecin fait bien son travail de prévention et ne reçoit que peu de visiteurs soignés essentiellement par les plantes.
2°Le 14 décembre 2012 sonne le glas de la médecine (source LIESI)
En France ce ne sera pas possible désormais: La décision du 14 décembre sera à marquer dans le marbre comme le glas de la médecine qui se résumera à l’absorption de substances chimiques et coups de bistouris.
En effet, le 14 décembre prochain, les nouvelles règles européennes sur les allégations santé entrent en vigueur: les compléments alimentaires, la médecine douce, et toutes les solutions alternatives aux poisons officiels imposés par le lobby pharmaceutique n’auront plus droit de citer.
Il sera impossible d’affirmer quel tel produit non issu de l’industrie pharmaceutique est plus efficace qu’un antibiotique industriel, que celui-ci présente des effets secondaires.
Il en ira ainsi par exemple de l’Argent Colloïdal dont on ne pourra même pas vanter les vertus thérapeutiques, ses qualités bactéricides, virucides et fongicides en tant que désinfectant ménager
« Les liens intimes entre les Laboratoires, le Cartel des Pétroles, les Banques et nos gouvernements ont ils jamais été plus évidents que lorsque Sarkozy a vendu au Mexique un laboratoire Sanofi-Pasteur, pour fabriquer des vaccins H1N1 quelques mois seulement avant la fameuse pandémie mexicaine ?… sans même évoquer comment le gouvernement de l’époque avait acheté massivement des vaccins, aux laboratoires. Ceux qui ont courageusement dénoncé l’extrême nocivité de ces vaccins, je pense à Rauni Kidle, ministre de la santé de Finlande à la Ministre de la santé polonaise, Ewa Kopacz , Jane Burgermeister et les blogs, ont fait échec à cette gigantesque forfaiture des gouvernements. Cela s’est passé il y a seulement 3 ans et tout le monde semble l’avoir oublié. »
Source: Liesi
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