Pas de combat, pas de guerre, pas question de
survivre. Simplement vivre, accepter, se résigner, pas à une fin non, mais à l'inévitable parcours de néons, d'acier et de sang. Endurer les regards en détresses, les compassions étouffées, la peur inspirée. Saugrenue, y trouver paix, détachement, sans brader son âme, juste en s'adonnant à la prochaine respiration, à la subsistance primitive. Et, de l'obscurité la plus vertigineuse, luir de plus belle.