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Connaissance des arts
« Qu’il photographie les survivants d’un tsunami, des sportifs à la sortie d’un match ou des célébrités sans fard, Denis Rouvre cherche à fixer ses modèles en situation de combat, face à l’adversité ou face à eux-mêmes. »
Lire l'article de Myriam BoutoullePhotographie.com
« La catastrophe enclencha également une série d’accidents dans les centrales nucléaires de Fukushima. Les portraits de Denis Rouvre, qui lui ont valu cette année un 3e Prix World Press Photo, racontent l'histoire universelle de la souffrance et de l'espoir. »
Lire l'articleTélérama
« Denis Rouvre, collaborateur régulier de Télérama, compte parmi les portraitistes français de talent. Ses clichés de personnalités mis en scène se révèlent toujours saisissants. »
Lire l'article de Frédérique ChapuisBlog Madame le Figaro
« Les photographes sont des gens qui agissent souvent par instinct. C'est leur sensibilité qui les guide. En novembre 2011, quelques mois après le tsunami du 11 mars, Denis Rouvre s'est rendu sur place, sans trop savoir ce qu'il allait faire. "Mon voyage était mu par la nécessité de me confronter à une réalité qui m'échappait en tous points et que mon imagination rejetait," explique-t-il. »
Lire l'article de Jean-Sébastien Stehli- Envoyer la page à un ami
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Denis Rouvre
À la Pinacothèque de Paris, du 03 octobre 2012 au 17 mars 2013
Low Tide - Le Japon du chaos
Dans le cadre du Mois de la Photo à Paris en novembre 2012, la Pinacothèque de Paris propose aux visiteurs de découvrir en accès libre l'exposition
de Denis Rouvre.
Le 11 mars 2011, un tremblement de terre de magnitude 9 survenait au large des côtes de l’île de Honshu au Japon. Le tsunami qui s’ensuivit dévasta près de 600 kilomètres de côtes de la
région de Tohoku, faisant 21 000 victimes et disparus et détruisant totalement ou partiellement de nombreuses villes et zones portuaires. La catastrophe naturelle enclencha une série
d’accidents majeurs dans les centrales nucléaires de Fukushima. Le jour même, environ deux cent quinze mille personnes habitant au plus près de la zone sinistrée furent évacuées puis, par
centaines de milliers, celles résidant dans un rayon de trente kilomètres durent également partir.
En novembre 2011 ainsi qu'en février 2012, je me suis rendu sur place, sans idée préconçue de ce que j’y ferais. J'étais mû avant tout par la nécessité de me confronter à une réalité qui
m'échappait et que mon imagination rejetait.