Grosse pulsion.
Après 3 jours passés sans vernis, il faut que je peinturlure tout ça !
Le problème avec les vernis, c’est que j’en achète un peu (trop) souvent et qu’il semble que je n’ai pas assez de doigts ou de temps pour réaliser toutes les manucures que j’ai en tête…
Un de mes derniers achats en date, Blue Bliss de H&M attend depuis 15 jours d’habiller mes ongles de ses paillettes aux couleurs changeantes, imaginez sa souffrance ! C’est un type de vernis qui manquait terriblement à ma modeste collection. Parce que depuis de j’ai développé une addiction aux blogs de nail art, j’ai découvert tout plein nouvelles de techniques pour être doigtalement belle ! Et là, ce que je veux c’est un jelly sandwich.
Définitions
Jelly sandwich : peinturage d’ongles qui consiste en une alternance de couche de vernis jelly et de vernis à paillettes.
Vernis jelly : « Une texture teinté et « sucrée » mais toute en transparence, laissant à la lumière l’occasion de jouer avec la brillance de vos mains. Les textures jelly rappellent le plaisir que l’on a a regarder la lumière traverser un bonbon. » Pshiiit (d’une manière générale, toujours se référer à Pshiiit quand on a une question vernis). En gros, le vernis que j’ai toujours détesté, avec une couvrance à chier, mais pour lequel je développe un nouvel intérêt.
Je vous épargne la définition du vernis paillette…
Conséquence de ma violente détestation du vernis jelly : j’en ai pas.
Enfin, je crois ne pas en avoir ! Alors que nous avons toutes un vernis jelly. Notre vernis beige-rosé-naturel-nude, le seul que l’on utilise jusqu’au bout et que l’on rachète depuis nos 14 ans.
Me voilà donc gaillardement partie. Une couche d’OPI Bubble Bath, une couche de Blue Bliss…
Et là, c’est le drame !
Blue Bliss a une base bleutée, pour de vrai, pas comme les vernis qui on l’air d’avoir un base colorée mais qui n’existe que dans le pot, pas sur l’ongle ! A cela s’ajoute un mystère chromatique, beige-rosé-naturel-nude + bleu/mauve = gris.
Dans un dernier effort, je tente de rattraper le tout en forçant la dose de paillettes.
Et là, je viens d’ouvrir une faille spatio-temporelle. Ongulairement parlant, j’ai 13 ans, c’est à dire avant que je découvre le BRNN. Je le confesse, je l’avoue, j’ai eu dans mes jeunes années un goût prononcé pour les vernis « glacier ». Il s’agit d’une effroyable nuance perdue quelque part entre le bleu, le mauve, et le vert, avec pour les pires spécimens du genre, une texture finement irisée. Je sais, il est impossible de déterminer le nombre d’Ave Maria nécessaire au rachat de ma faute…
Et pourtant, il est beau ce Blue Bliss. Ses paillettes jettent des feux multicolores dans tous les sens, de la vraie peau de sirène ! C’est juste qu’il est comme moi, il n’aime pas le jelly. Tout simplement parce c’est un jelly, un jelly avec des paillettes.
Demain je vire tout ça et j’offre à Blue Bliss un partenaire de qualité. Un bleu, je pense. Ciel ou marine ? Je ne sais pas encore.
Mais demain, parce que là je dois faire face à une grosse pulsion. Une pulsion d’une violence extrême… IL FAUT QUE JE REGARDE HARTLEY COEUR A VIF ! MAINTENANT !!!
Pour voir à quoi ressemble le bestiau c’est ici.
Pour voir à quoi pourrait ressembler un partenariat de qualité c’est ici.
C’est cher ?
Non. 3,95€
C’est pas cher ?
Non. 1 an = 52 semaines = 52 x 3, 95€ = 205,40 €
C’est bien ?
Oui. Ça paillette de haute qualité !
C’est nul ?
Oui. Dissolvage = crise de nerfs !