Les représentantes de la Coalition des garderies privées non subventionnées ont rencontré Nicole Léger, la ministre de la famille, le 1er novembre dernier. Elles lui ont présenté des documents prouvant l’existence de places inoccupées. Elles lui ont aussi fait part des économies que réaliserait le ministère en transformant ces places.
La réponse de madame Léger ? Non, niet, nada, no
Je crois qu’il s’agit surtout d’un parti pris contre l’entreprise privée qui, aux yeux de ce gouvernement, ne pourra jamais aussi bien servir les Québécois que le feraient leurs indécrottables fonctionnaires.--- Lise Ravary