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The story behind the pics, kitesurf à Milford Sound.

Publié le 29 novembre 2012 par Jéremie Eloy

Le tournage du 6ème épisode de Make my day Nouvelle-Zélande vient juste de finir, 6 semaines en camping-car, 8000 km, du Nord au Sud avec un retour au Nord

Je vais prendre quelques semaines maintenant pour éditer l’épisode.
Une session que je n’oublierai jamais, bizarrement, c’est sur l’eau plate que ça se passe, et presque de l’eau douce…. C’était à Milford Sound.

C’est un endroit spécial en Nouvelle-Zélande, vous devez conduire quelques heures, dans une  route magnifique entourée par la montagne, et vous vous retrouvez au milieu de nulle part, ans une region “le Fjordland”, avec des chutes d’eau partout … J’ai fait la route en fin de  journée, il pleuvait des cordes, je pense que je me souviendrai toujours de cette route, la couleur, le bruit, tout était assez intense, et je pense que pour l’apprécier encore plus, faites la sous la pluie. A la fin de la route vous êtes à Milford Sound:

Le Milford Sound est situé dans le Sud-Ouest de l’île du Sud de la Nouvelle-Zélande, sur la côte Ouest qui donne sur la mer de Tasman. Inclus dans le parc national de Fiordland inscrit avec d’autres parcs néo-zélandais au patrimoine mondial de l’Unesco sous le nom de Te Wāhipounamu, il s’avance d’une quinzaine de kilomètres dans les terres, au cœur des Alpes du Sud.

Les parois des montagnes qui l’encadrent atteignent par endroit plus de 1 200 mètres de dénivelé et culminent à 1 692 mètres d’altitude au Mitre Peak1, 1 517 mètres à The Elephant et 1 302 à Lion Mountain. La profondeur maximale du fjord dépasse quant à elle les 400 mètres.

Les pentes des montagnes sont couverte d’une forêt pluviale primaire et les eaux du fjord sont peuplées de cétacés comme des baleines, des phoques et des dauphins.

Je suis tombé littéralement amoureux de l’endroit, et je ne pensais qu’a une seule chose, voler avec mon aile de kite sur ce plan d’eau, entre les montagnes, la neiges et les cascades.
Evoluer en Kitesurf à Milford Sound était devenu une obsession, donc je suis resté une semaine à attendre le vent, et vérifier avec le port et petit aéroport, si c’était possible … Il y a énormément de touriste, mais après 3 heures de l’après midi, il n’y a plus personne, et l’on est seul au monde.
Le dernier jour le vent s’est levé … j’ai attendu impatiemment 3 heures, que l’aéroport ferme, et là je n’avais plus qu’a en prendre plein les yeux… c’était comme rider au “Paradis”


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