The Mindy Project // Saison 1. Episode 7. Teen Patient.
Après le très bon épisode précédent, je me demandais si The Mindy Project allait être faite de ce qu'elle avait proposé dans cet épisode ou bien depuis le début de la saison. On va dire que c'est
un mix des deux. Il y avait quelque chose que j'ai adoré dans cet épisode, c'est le côté un peu chic de la série. Le fait que Mindy lise des livres par exemple. C'est un fait qui peut paraitre
anodin, surtout dans une société où le livre se porte toujours très bien, mais il y avait quelque chose de classe qui me rappelle presque Mange Prie Aime (sauf que The Mindy Project n'a pas été
créé par Ryan Murphy ne vous inquiétez pas). Enfin, il pourrait y avoir des doutes, notamment quand nous rencontrons le jeune ami gay de sa voisine, un cliché ambulant mais terriblement drôle et
attachant. Ce genre de personnage stéréotypé n'aide pas forcément l'évolution des mentalités vis à vis de l'homosexualité mais c'est très souvent des personnages généreux, un peu comme Kurt (dans
une version beaucoup plus mélo) dans Glee.
Cette semaine donc Mindy se retrouve avec une demande assez intéressante : sa voisine et jeune fille aimerait bien que Mindy lui prescrive la pilule sauf que Mindy aimerait bien vérifier que le
garçon avec qui elle sort n'est pas qu'un flirt et que c'est le bon pour elle. J'ai adoré parce que Mindy ne peut pas donner de leçons en amour, vu sa vie amoureuse désastreuse. Du coup, la série
enchaine les répliques inspirées et la confrontation facile avec le petit copain. Mais du coup il y a aussi un revers de la médaille que j'ai adoré : la jeune fille veut poser toutes les
questions (même les plus dérangeantes) au petit ami actuel de Mindy et cette dernière va tomber de haut. Il y a quelques très bonnes scènes. Je retiens avant tout celle dans le gymnase quand
Mindy fait la leçon aux filles du lycée sur la contraception. C'était un grand moment de rire que The Mindy Project maitrise complètement. Du coup, de cet épisode ressort plus de choses que l'on
ne pourrait le croire. Comme si l'on avait vraiment faire un concentré de choses et d'autres. Le meilleur ? Tout est cohérent.
Note : 7/10. En bref, drôle encore et encore.