Le livre
Loin d’être deux sujets distincts, les réseaux sociaux et la responsabilité sociale sont, au contraire, étroitement liés. Avec l’avènement des Facebook, Twitter et autres, les milieux d’affaires, les politiciens et dirigeants se voient poussés, enfin, à s’engager véritablement sur la voie d’un futur responsable.
Comment ? C’est tout l’objet de cet ouvrage dans lequel David Jones nous explique comment Millenials et Prosumers, ces jeunes de la génération Y et consommateurs activistes, peuvent faire ou défaire une réputation en un tweet ou en un simple clic.
Clients, salariés, ou même actionnaires, tous aujourd’hui tiennent pour acquis ou presque l’obligation morale des entreprises à bien agir. Ils attendent d’elles authenticité et transparence. Et si tel n’était pas le cas, ils n’hésitent plus à le faire savoir sur les réseaux sociaux.
Fini le greenwashing donc, ou la propension à rehausser artificiellement son image. Place aux engagements fermes. Faire le bien n’est ni un phénomène de mode ni un simple avantage concurrentiel, c’est une exigence à inscrire au coeur de l’ADN de toute entreprise.
Véritable plaidoyer en faveur d’un changement de paradigmes, ce livre propose de nombreux exemples et études de cas aussi éloquents que stimulants, qui convaincront même les derniers réfractaires.
Car les entreprises et les organisations qui souscriront à l’idée de « good business » seront largement récompensées.
L’auteur
Le Forum économique mondial a décerné le titre de Young Global Leader à David Jones, remarqué pour ses qualités de visionnaire, et pour sa défense de la responsabilité sociale des entreprises et du changement social. Il est le plus jeune directeur général de l’histoire de la publicité : actuellement à la tête de Havas et de Havas Worldwide, et seul dirigeant britannique d’une société française cotée. Il a joué un rôle moteur dans la campagne de Kofi Annan, campagne pour la justice climatique, qui a recueilli 18 millions de signatures d’adhérents à la lutte contre le changement climatique, ce qui en fait l’un des plus grands succès pour une grande cause. Il est le cofondateur de One Young World (que CNN décrit comme le «Davos des jeunes»). C’est une organisation sans but lucratif qui offre une plateforme mondiale aux jeunes talents afin qu’ils puissent initier des changements positifs. Il a également travaillé en collaboration étroite avec David Cameron et le parti conservateur britannique, entre 2007 et l’élection de M. Cameron comme premier ministre en 2010.
David est l’inventeur de la Social Business Idea®, et auteur d’un livre à grand succès Who Cares Wins: Why Good Business Is Better Business, publié en anglais en 2011 par Pearson/FT Publishing et traduit dans plusieurs langues (chinois, français, portugais, coréen, japonais et espagnol).
David a été inscrit au Hall of Achievement de la Fédération américaine de la publicité en 2005, proclamé l’un des deux meilleurs dirigeants de la décennie par les lecteurs de Adweek, nominé par CR Magazine parmi les PDG responsables de l’année 2011, et inclus dans la liste des « 40 de moins de 40 ans » par Crain’s New York Business et aussi par Advertising Age. Il est membre du Comité Clients de Facebook.
Mon avis :
Merci à l’agence pour cet envoi, mais je n’ai pas encore eu le temps de le découvrir, donc je me contente pour l’instant d’une simple copie de la présentation. (en outre il sort un peu du cadre de mes lectures)
On a tous à y gagner – David Jones Éditions Pearson
Date de parution : 28/11/2012