Suite au premier plan d’action chlordécone (2008-2010), les autorités ont décidé de mieux étudier l’exposition aux pesticides aux Antilles, des données jusqu’alors peu connues, la France d’outre-mer étant exclue des études de l’alimentation totale française (EAT), du fait d’habitudes alimentaires spécifiques. Les experts de l’étude de l’Anses ont recouru à une méthode similaire à celle des études EAT, par croisement des habitudes antillaises de consommation, déterminées lors de précédentes études, et de données de contamination des aliments.
Selon les résultats de l’étude Sapotille publiés le 5 octobre 2012 par l'Anses, la population des Antilles françaises ne présente pas de spécificité en termes d’exposition alimentaire aux résidus de pesticides.
Pour en savoir, on peut lire l'article sur le site journaldelenvironnement.net