Plusieurs traits identifiables :
- des accès de vulgarité et de colère
- un egocentrisme aigü et une obsession pour soi
- une sur-valorisation du commandement
- une absence de mentorat efficace
- l'usage de l'influence par la peur
- la crainte des personnes intelligentes et leur écrasement
- la culture de l'individualisme
Ces managers sont des contre-exemples parfaits lorsqu'on touche aux thématiques employeur. En effet, ils peuvent être :
- des déclencheurs et des amplificateurs de turnover élevé
- des déclencheurs et des amplificateurs de bouche-à-oreille négatif
- des freins au recrutement des bonnes personnes
A l'opposé, nous avons les managers multiplicateurs comme le décrit très bien Liz Wiseman dans son livre. Ce sont ceux qui :
- font preuve de diplomatie, même en situation de conflit
- pensent au résultat collectif
- préfèrent l'influence positive au traditionnel commandement
- attachent une grande importance à l'avancement des collaborateurs
- font confiance et partent du principe que chacun a un potentiel à atteindre/dépasser
- recrutent des personnes plus intelligentes, qui les challengent
- cultivent l'esprit de communauté