Kitchenlife.fr, le blog de Cuisinella, met la cuisine au centre de la vie. Si décoration et gastronomie sont bien sûr à l’honneur, la rédaction n’oublie pas de surprendre avec des dossiers aux thématiques très originales.
Il y a quelques jours, Kitchenlife m’a invitée à participer à un dîner clandestin. Retour sur cette soirée pleine d’intrigues…
A quoi dois-je m’attendre?
Lorsqu’on est invité à un dîner clandestin, on se pose un tas de questions: qui seront les convives? où le dîner aura-t-il lieu? chez quelqu’un version Dîner plus que parfait ou dans un restaurant version Cauchemar en cuisine? que vais-je manger?
Mais le principe du dîner clandestin, c’est justement de ne pas avoir l’info avant le jour J!
Quelques heures avant l’évènement, ça y est, je reçois le sésame dans ma boîte mail. Je connais le menu, l’adresse et le thème: Desperate Housewives!
Un dîner très Wisteria Lane
C’est sur mes talons de 10 cm de haut que j’arrive sur le lieu de rendez-vous (après tout, c’est une soirée Desperate Housewives et les fashionistas connaissent l’amour de Gabi pour les chaussures à talon). Je fais alors connaissance avec les autres convives, 5 autres blogueurs que je vous invite à lire si vous aimez les bons plans, les bons restos, les bons vins, les sorties, les voyages… Tout le monde est détendu, une très belle soirée s’annonce!
Nous pénétrons chez un chef cuisinier – son nom ne nous sera divulgué qu’au dessert – et sommes accueillis au champagne par une assistante aux lunettes vintage. Dans le hall d’entrée, une oeuvre nous intrigue déjà: qu’est-ce que ce damier? A y regarder de plus près, cela ressemble à un jeu de prises électriques. D’ailleurs, elles fonctionnent!
Une fois dans le salon, la chaleur d’un feu de bois vient contraster avec la fraîcheur des entrées de la famille Solis: nous dégustons un guacamole maison (avocat, pamplemousse, crevette) accompagné d’une fine tarte de mais aux légumes frais et pinces de crabe.
Au gré des discussions, nous découvrons le filet de saumon et les nouilles d’Eddie. Sportive, Eddie aime les challenges. Un défi qu’a relevé avec brio le chef qui signe ici un poisson en slow cooking. Un régal rapidement suivi par un velouté de fèves tonka et agneau tout aussi réussi. Pas de doute, c’est bien là le plat inspiré par Bree: léger mais savoureux…
Si les premiers plats m’ont vraiment inspiré les personnages de la série Desperate Housewives, je suis restée assez déçue par le dessert des Scavo: un petit fondant au chocolat que j’ai jugé trop fort en cacao pour mes papilles et pas suffisamment original après des plats très travaillés.
Après cette légère petite déception, l’homme à l’origine de ce festin est venu se présenter et recevoir nos applaudissements avec la plus grande des modestie.
Raimundo nous explique alors son parcours et comment il est arrivé en cuisine. Originaire du Chili et fils d’architectes, Raimundo se dirige d’abord vers des études d’architectures avant de devenir enseignant. Après de multiples voyages, il se lance dans la cuisine sur mesure. Comme il nous l’explique après une tisane bien chaude à son domicile, la cuisine, c’est ce que l’on fait, où on le fait mais c’est aussi comme une construction: il faut de bonnes bases, puis le plat se construit étage par étage!
« La cuisine mais pas que »
C’est justement ce qui ressort de cette soirée organisée avec raffinement par Kitchenlife.fr, ce nouveau blog créé par l’agence Change et mis en avant par l’agence de relations publiques French Cancans: de la gastronomie, de la déco et des rencontres!
Un grand merci également à mes compagnons de dîner: Aline du blog Paumée à Paris, Mariam du blog Geek and Food, Laura du blog La Frange, Pierre-Gaël du blog Les Gourmands 2.0, Emilie de Taste and Furious, Sophie de l’agence French Cancans et Arnaud de l’agence Change.
Crédits: Générationnelles.com