Celle-là nous et utile à nous journalistes pros et/ou amateurs cela est indéniable.
Que seraient nos journaux, nos blogs sans illustrations photographiques ?
Et Bernay malgré tous, donne régulièrement la parole crochet au bout de cimaises aux photographes locaux et/ou hexagonaux.
Ainsi, j’entendais l’autre soir un mini débat, frustrant, car il coupe toujours la rencontre au moment où elle devient intéressante (c’est cela la télévision aussi, rire) sur "Tous photographes", mais cela veut dire quoi en fait ?
Oui, ça veut dire quoi ?
Le fait d’être photographe et il nécessairement assimilable aux mots et à l’idée de reportage de vie, de tranches de vies des humains ?
Il est vrai aussi qu’il est plus facile de montrer des moments de joie, que des moments de tristesse, j'avoue.
Mais même s’il nous est donné à voir des moments de tristesses, de dureté de vie (comme peut l’être la mort, les guerres, la pauvreté, etc.) n’est-ce pas cela le rôle de la photographie ?
Je le crois sans en être réellement convaincue.
Pourquoi n’ai-je pas l’air convaincu moi-même (rire) et bien nous avons tous besoin dans notre monde actuel de choses plus enveloppantes de joies, de petits bonheurs, que de choses noires non ?
L’idée même du photographe doit être relativisé, notre société à ce besoin, oui, on s'est créé une sorte d’addiction à l’image, aux images pour se montrer s’en doute à soit même que l’on existe, que l’on et vivant.
À l'opposé des peuples d'Afrique qui pense que faire des photos d'eux s'est d'une certaine manière leurs volées, un peu d'eux même, voir leurs volées leurs âmes.
Et ainsi, parée de s'est quelques milliards de photos développer dans le monde, le support numérique aujourd'hui facilite le temps d’attente et rend ainsi la photographie dans une idée d’immédiateté, on peut même visionnée s'est clichés en direct en quelques clics et de ce faite jeter, détruire celle qui nous plaise pas.
La photographie sort du pur cadre des puristes et s'ouvre aux plus amateurs d'entre nous.
Oui, la photographie sort de son cadre strict du matériel dit "Haut de gamme" en se vulgarisent avec les mini -appareils photo installer sur nos téléphones portables.
Donc, vous voyais la mon idée d'immédiateté n'est pas toute fausse (rire).
Alors, qu’avec un développement basic sur papier ont à tout le lot des bonnes, mais aussi des mauvaises prises de vues (en général entre 25 et 30, rire) alors qu’avec le support numérique ont va jusqu’à plus de (en format 24x36) 160 et celons la carte mémoire de votre appareil photo on peut monter largement au-delà des 200 photos (ceci dit pour information technique, rire).
Alors, après, le fait de compulser les albums photo familiaux et/ou de divers types nous rassure sur nous-mêmes.
Oui, nous, dès lors, nous situons dans l’escalier évolutif de nos vies - rapport avec les autres.
Cela crée comme qui dirait "Un moment d’échanges et de souvenirs" et quelques par cela ouvre un dialogue qui se perd tant va l’homme au tout numérique et informatique et donc s’individualise, s'enferme parfois en lui-même à l’extrême.
Alors, on le sait, les photos parlent d’elles même (j’avance, s'est horribles quand même, des évidences flagrantes franchement, rire).
Si elles ont s'est expressions qui nous parlent d’un seul coup d’œil alors mieux vaux un vrai et beau cliché que tout un tas de mots, d’article qui n’exprime rien ou si peux, non ?
On le sait, la photographie peut être aussi vile et, manipulatrices, on peut commenter de n'importe quelle manière un cliché (voir une image de M. N.Sarkozy qui tend la main vers le ciel et que l’on fît passer pour une sorte de salut nazi).
Pour moi, la photographie fait partie de s'est instants qui (évidence flagrante, encore une fois, rire) fige le geste, une intention.
À nous, vous après, d’entrevoir une situation qui sera aussi diverse qu’elles auront d’yeux pour la regarder.
Après, la photographie (mes photographies) sont d’abord pour certain un moyen de marquer pour l’éternité nos mémoires.
C'est alors ce que j'essaie, avec mes photos "Journalistique" et "Artistique", de faire humblement…
Photographies : "Vues diverses de Bernay" par le citadin année 2011 - 2012.