Etrangement, alors que les perspectives de croissance restent toujours au niveau d'un encéphalogramme plat, qu'ici, à l'île de la Réunion, comme partout en France, tout le monde n'a à la bouche que le mot "crise", cette dégradation semble passer par pertes et profits.
Les gens sont plus préoccupés par le bulletin scolaire de leurs marmailles, et par leur avenir, que par les guignolades d'agences autoproclamées, et supranationales. Le gouvernement Ayrault navigue entre les écueils de "la crise". Qu'il prenne garde à ces instits anglo-américains qui lui donnent des zéros de conduite dès qu'il veut prendre le volant.
C'est le problème, avec ces gens là : ils ont tout appris dans de grandes écoles, sauf le sens du mot démocratie. Et accessoirement, les notions de base de l'économie...
François GILLET