Oui, il n'est pas un endroit en ville ou à ses périphéries qui n'est eus à subir les dommages et/ou dégâts de cette fameuse agressivité gratuite dont je parlais plus haut par de simples petits faits et/ou des plus conséquents.
Celui qui m'a frappé se trouve visible, et oui encore (rire), dans ce parc près de la mairie ("Jardin de l'abbatial" anciennement nommée "Jardin de la sous-préfecture").
Je me suis posé la question du pourquoi et du comment du fait que nous n'ayons plus une seule statue encore debout et en libre exposition dans ce parc là ?
Oui, rappelez-vous il y à quoi presque dix ans, nous avions des sculptures ici ou là au détour de telles ou telles allées, et depuis, plus rien.
Mais pourquoi donc ?
Alors, après avoir posé quelques questions et mené ma petite enquête (qui me fut laborieuse, longue, fatigante, harassante, rire) auprès de quelques services municipaux, je n'eus de leurs pars, je l'avoue, de réelles réponses concluantes.
Non, aucun fait rebondissant, aucun vol dû à un gang de voleurs d'œuvres d'art, etc. (rire).
Oui, premier constat, elles ont belles et bien disparu de la circulation d'un jour sur l'autre s'en que personnes n'en sache rien.
Pourquoi les a-t-on enlevés ?
Combien y avait-il de statues ?
Quand reviendront-elles (si un jour elles réapparaissent, rire) ?
Alors, déjà, d'après mes souvenirs le parc en comportés trois ou quatre.
Donc, à ma question on ne peut plus simple "Où sont-elles", je n'entendis que cette réponse :
"Bah alors, là, aller savoir pourquoi elles sont plus là.
Donc encore, après avoir faits des recoupements des diverses réponses obtenues j'ai appris tout bonnement qu'elles ont été retiré volontairement de leurs places.
La raison ?
La réponse est on ne peut plus claire :
"Pour éviter les désagréments"
Désagréments n’ont pas, plus, du temps, car le temps sur elles n'avait plus de prises (rire).
Enfin, que je sois plus explicite ici, pas de tous les habitants non, nous parlons ici encore et encore de nos adolescents infatigables révolutionnaires de l'éphémère qui saccage tout même ce qui ne leurs à rien faits.
Quand on est môme, entre 13 et 18 ans, on courts partout, on se chahute, on se drague brutalement (lisez un peu la psychologie des couples et des rapports amoureux, pots-adolescent rire).
Et nous voyons ici que dans leurs jeux de mains, pas toujours vilains, mais là pour le coup, se sont réellement des jeux de vilains, et bien qu'à force de tournoyé autour d'elles s'en doute que l'une ou l'autre se serait mis à vacillé de sur son socle et risqué et/ou et tombée pouvant et/ou blesser l'un ou l'autre des dit ados jouant ici.
Ou blesser de simples citadins passants par là, du fait de sa chute involontaire.
On peut se contenter de ces réponses qui incriminent, encore et toujours les jeunes.
Bon, il est vrai qu'il ne nous faut pas devenir paranoïaques.
Les jeunes ne sont pas tous évidemment responsables de tous les maux que ce jardin vit.
On pourrait peut-être penser que ces retraits pourrait-être dû à des décisions du conseil municipal traité ensuite par le ou les chefs des divers services des parcs et jardins de la ville qui aurais alors sous le terme de" La sécurité des habitants" décidés purement et simplement de les retirer définitivement ne les trouvant alors plus trop aux goûts du jour ?
Non, il est évident que j'affabule ici (rire).
Bon, c est vrais aussi qu'elle non s'en doute pas été signée par Mr Rodin, ou je ne ses quels sculpteurs de talents de ses époques là, soit, mais tout de même.
Elles doivent être en vulgaire pierre de Caen (comme la statue de Jacques Daviel" place Héon), mais bon une sculpture reste une sculpture non ?
Mais est-ce temps à une valeur marchande que l'on devrait s'arrêter ?
Ne devrait-on pas se dire cela est un point de plus pour ces parcs et jardins locaux que de les montrer à voir au passant et/ou touristes, je trouve.
Je me dis aussi que si l'on traite l'art né des mains d'anonymes et/ou d'artistes reconnues de cette manière-là cela est triste je trouve, pas vous ?
Comment en jouant ou en ne jouant pas et la volontairement peut-ont détruire de l'art le plus simple soit-il ?
Merde alors (oups, désoler de cette saute de langage, rire) les destructions et/ou le fait de retirer des choses liées à l'artistique - d'œuvres d'art ne vous fais rien, bah-moi si.
Alors, Vous allez me dire "Ho, du calme l'ami, ce ne sont que de vulgaires statues de pierres dans un jardin public" et-moi de vous répondre "Et alors !".
Si l'on ne s'offusque pas plus que cela pour des choses soit, bénignes, pourquoi allons-nous nous inquiéter ?
Je sais aussi que tant qu'il ne s'agit pas de vos petits jardins gentilés que l'on saccage et que vos nains ou autres statues de plâtres ne sont points défoncés d'accord.
Mais alors, dites-moi, amis citoyens, les lieux publics ou vous comme moi avons plaisir à erré vous vous en foutez ?
Ses drôles tout de même, je ne dis pas que vous tous jouer la carte du j'en foutisme ambiant, mais que vos valeurs du respect des choses à des cadres et qu'après tous les biens municipaux ne sont pas le vôtre, donc il peut leurs arriver quoique ce soit vous vous en foutez, comme cela peut-être bien regrettable.
D'accord aussi, ses trois ou quatre statues ne sont pas des plus importantes, mais elles font tout de même partie de notre paysage culturel local.
Vous pouvez voir en illustrations lesdites statues et/ou d'autres (à l'époque) qui ornaient leurs socles en fessant belles figures.
Il nous faut savoir que ces statues sont aux endroits que nous leur connaissons depuis un bon siècle.
Leurs dépôts doivent, s'en doute, daté approximativement, et
d'après ce que j'en ai vue dans des livres d'histoires locales et sur le patrimoine cartophile de la ville aux années 1900 - 1930 (2).
Hélas, peut ou prou de photographies spécifique ont été faite, outre quelques vues générales des parcs et jardins, mais si nous prenons une loupe et bien nous pouvons en distingué quelques-unes ici ou là (rire).
Alors, des questions nous brulent les lèvres :
D’où viennent-elles ?
Qui les a mises là ?
Mais aussi des questions sur leurs histoires.
Puis encore :
D’où viennent ses colonnes gréco-romaines ?
D’où vient ce joueur de flute ?
Cette femme sans bras, sorte de "Vénus de Milo" sur tronc ?
Bref, je trouve cela dommage que nous ne puissions plus jouir de leurs vues mêmes si à force de temps nous passons devant s'en plus y prêté attention.
Combien de générations d'amoureux ont-elles vu, oui, combien de restructurations du parc ont-elles connu ?
Que de questions me direz-vous (rire) oui, je sais, je suis comme cela très curieux de nature (rire).
Photographies : "Le jardin de la sous-préfecture est ses diverses" détails tirée du fond de cartes postales de "Walter" photographe officiel de la ville de Bernay et "Cim" clichées réalisé entre 1900 et 1910 et 1970 (photos tombée dans le domaine publique pour celle de "Walter").