Ce qui vient de se passer à l'UMP me laisse penser qu'en politique l'honnêteté n'est pas de mise. La fraude semble être une pratique généralisée dans ce monde : on trouve de tels irrégularités au sein d'autres parties. La fraude est particulièrement médiatisée, visible lorsque les scores des protagonistes sont proches. On s'accuse alors mutuellement de fraude. La fin justifie les moyens, les enjeux semblent être trop conséquents et la Loi n'est alors qu'un obstacle qu'on surmonte en l'enfreignant allègrement. Imagininons que la malhonnêteté paie. La politique n'est qu'un prolongement de la guerre. Cette dernière se fait suivant des règles promulguées par les puissants mais violées par eux également.
Tout ceci me laisse alors penser que le "tous pourrient" populiste et en tant que tel mass mediatiquement décrié ne rend compte que d'une banale réalité qui est celle de l'homme et du fond qui l'anime, une forme d'avidité doublée de prédation.