Un grand merci à Nathalie Mège, traductrice littéraire, qui a rassemblé ces informations sur sa page Facebook (laquelle s'enrichit régulièrement de nouveaux liens).
• Une mine d'informations pratiques, même pour les non-adhérents : le site de l'Association des Traducteurs Littéraires de France.
• Le forum du site "portail-traduction", peuplé de traducteurs littéraires. (On ne voit l'intégralité des messages qu'une fois inscrit.) Ses deux atouts : l'entraide et l'ambiance.
• Le convertisseur de tarifs (langue source ↔ langue cible ; papier ↔ informatique, etc.) édité par plusieurs membres du forum.
• Le nouveau Code des usages pour la traduction littéraire co-signé par le Syndicat National de l'Édition, qui régit les rapports entre éditeurs et traducteurs depuis mars 2012.
• Le Code de la Propriété Intellectuellesur les principes et la lettre duquel est fondé le Code des Usages, le traducteur littéraire étant considéré comme l'auteur du texte français.
• Une "Loi sur les œuvres indisponibles" très contestée par les auteurs, car elle instaure une sorte de réquisition des droits numériques sur les ouvrages parus jusqu'en 2000, a complété le CPI début 2012. Les auteurs ne sont d'ailleurs pas les seuls à la contester : cf l'analyse d'un juriste spécialisé parue dans les recueils Dalloz de référence (plan de l'article + document téléchargeable).
• En attendant d'éventuels aménagements, un Petit guide de survie juridique à l’usage des auteurs d’œuvres indisponibles aide à y voir clair sur le site S.I.Lex . Le Syndicat des auteurs de BD a également mis en ligne en novembre…