"L'Homme descend du songe"
-Antoine Blondin-
dans la vidéothèque de Serge:
dans la boite aux lettrres:
"Plus d'un million d'enfants risquent d'être exposés inutilement aux dangers du Bisphénol A, produit nocif présent dans les conserves et les ustensiles de cuisine. A moins de faire entendre nos voix. Parce qu'il dérègle nos hormones, le Bisphénol A participe au développement de maladies du cœur, de l'infertilité, du diabète ou de cancers. ll y a quelques semaines, une pétition sur Change.org demandant l'interdiction de ce produit a été entendue: les sénateurs ont voté une loi interdisant les usages alimentaires du Bisphénol A. Mais sous la pression des lobbies industriels, ils ont reporté la date d'interdiction de 18 mois. Nos ustensiles et produits alimentaires ne seraient débarrassés du bisphénol qu'en juillet 2015 au lieu de janvier 2014. Il est urgent d'agir: les députés se réunissent dans quelques jours pour voter définitivement la loi. Avec le Réseau Environnement Santé, nous avons donc lancé une pétition sur Change.org pour demander aux députés français de rétablir l'interdiction du Bisphénol A au 1er janvier 2014. Nous leur remettrons directement les signatures la veille du vote final pour leur montrer que les citoyens refusent ce report. Cliquez ici pour signer notre appel. Merci de le diffuser largement. Rien ne justifie ce report de l'échéance : les solutions de remplacement sont nombreuses (verre, inox, brique cartonnée, autres plastiques) et disponibles commercialement ; plusieurs grandes marques les ont déjà adoptées. Pendant ces 18 mois, près de 1 245 000 enfants vont naître en France et seront exposés inutilement au Bisphénol A dans le ventre de leur mère. La mobilisation dans les prochains jours est notre meilleur espoir : si les députés voient que les citoyens ont les yeux braqués sur eux, ils n'auront d'autre choix que de rétablir l'échéance initiale de la loi au 1er janvier 2014. Pour cela, des milliers de voix sont nécessaires. Face aux lobbies industriels qui font tout pour retarder l'application, faisons résonner la voix des citoyens pour stopper ce scandale sanitaire." Signez la pétition pour refuser d'être empoisonnés 18 mois de plus. Merci pour votre aide, Yannick Vicaire et le Réseau Environnement Santé
in the box of clics
près de 7 milliards d'euros d'assurance sociale ne sont pas versées à leurs bénéficiaires de droit chaque année. Presque le double des estimations de la fraude sociale !
Environ la moitié des foyers éligibles au RSA ne le réclament pas
à suivre dans les chroniques politiques de Juan
"..../...Si je reste lézard
je ne vis plus à côté de ma main.
Mes lignes se recoupent.
J'ai fait ma chance et j'ai tenté ma vie
tête et coeur mêlés.
Après avoir été l'ailleurs
je suis l'ici
Longue rivière palabreuse
je prends le temps d'être
et dérive dans l'eau femelle
rêveur du monde et colporteur de mots d'enfant;
Je ne crains plus le centre de la chandelle
et regarde la vie dans les yeux.
Je vis comme un arbre à gousses
mon ombre me fait les pieds.
Trait d'union plein de sève
entre morts et soleil
quand je m'osculte l'aubier
mes racines tatouent mes conjugaisons."
.../...
extrait de "Nomade je fus de très vieille mémoire"
de Anthony Phelps
Le prix de poésie
du 14ème Salon international du Livre insulaire de Ouessant
a été attribué à Anthony Phelps
pour son livre "Nomade je fus...
"Dehors le lièvre court la hase
Dehors tout le monde dehors
J'embrase mon terrier
J'annule la chambre à part
Je sors me joindre à l'affluence
Me poser sur la branche
Au risque de me trouver
À l'étroit
Faudra se serrer
Comme une forêt vierge
Faudra se mêler
Nos lianes infinies
Dehors la flore est à l'orage
Dehors la peur de l'eau qui dort
Je prépare mes hameçons
Mon bouchon et consorts
Ca mord ça fout l'effervescence
Au gardon à la tanche
Au risque de me trouver devant toi
Faudra se serrer comme une forêt vierge
Faudra se mêler nos lianes infinies
Effet de serre
Ma vie sous verre
S'avère ébréchée
Faudra se serrer comme une forêt vierge
Faudra se mêler nos lianes infinies
Effet de serre
Ma vie sous verre
S'avère ébréchée
Faudra se serrer"
-Alain Bashung-
photo: Valérie
Parsifal au naturel