Nul doute que vous aimerez les Chroniques de Michèle.
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Madame l'Architecte c'est notre sécurité
Michèle c'est aussiUn très beau polard :Dans Au vent des fleurs de canne, le commissaire Boucher et un assistant mènent l’enquête selon les procédures habituelles (relevés d’empreinte, garde à vue, interrogatoire, etc.). Pourtant, ce sont deux femmes, soit l’épouse du meurtrier, Alice, et la conjointe de la victime, Patricia, qui identifient le coupable. Alors que l’assassin s’apprête à abattre Patricia, Alice surgit, en endossant le rôle de justicière, pour protéger la jeune femme en déclarant à son mari: «Ne me force pas à te tuer.» (157) Pour maîtriser celui-ci qui se montrait récalcitrant, Alice n’hésite pas à faire usage d’une arme à feu, qu’elle a appris à manier en cachette de son époux; la balle projetée lui arrache l’oreille. Ainsi, la solidarité féminine s’est exercée face à l’adversité, et notamment face à une police désavouée. Amère, Patricia déclare: «Vous arrivez bien tard, commissaire» (Id.). Pourtant, tout au long du récit, le lecteur ne soupçonne pas Alice de connaître l’identité du coupable.
Petit message personnel : Michèle tu me désespères : le Commissaire Boucher Alice et Patricia ne peuvent demeurer plus longtemps sous ton coude. J'ai visité ton BLOG il te ressemble bien et je pèse mes mots. En tous cas je t'y retrouve, femme, fille et architecte. Je te souhaite du succès !