Parce que l’hiver promet d’être particulièrement froid cette année on regardera d’un oeil débordant de tendresse le nouveau projet de la fine équipe de GONZAÏ de s’étendre à une formule bi-mensuelle physique. Quoi de plus précieux en effet que de pouvoir se nourrir sur papier des détails contés par des zozos gonzos du site pour seulement 7€ par numéro, en toute liberté et sans aucun soucis de connexion, et en décrochant au passage la possibilité de foutre au feu leur prose une fois l’ouvrage dévoré pour se réchauffer les mimines (ou faire cuir vos plus belles merguez) ?
GONZAÏ, c’est quatre mecs – Bester, Thomas, Benoît et Bob – suivis chaque mois sur gonzai.com par 100.000 visiteurs dits uniques (tout visiteur est unique, oui, toi par exemple qui lit en ce moment ces lignes, tu es unique, tu es sexy, tu sensualité et intelligence – sans quoi tu n’égarerais pas tes yeux doux et beaux dans ces contrées débordantes d’amour et d’eau fraîche – et occasionnellement d’un échantillon de bière ou de Jack). Quatre têtes brûlées, donc, et plus si affinités – on appelle ça des « contributeurs occasionnels » – qui déballent interviews, chroniques, billets, portraits, rétrospectives, décryptages au karsher ou au gang de toilette- savon doux et autres joyeusetés pointues du front, qu’on résumera en finesse et en trois lettres par un pâle « KKK » (du Kul, du Kulte, du Kulturel). Mais GONZAÏ, c’est aussi des soirées de oufs comme disent les jeunes d’hier et d’après-demain, tous les mois à Paris et à l’étranger (Lille, Rennes, notamment…), qui mettent à l’affiche des artistes aussi inattendus que rares et exceptionnels (putain, Damo Suzuki, quoi) et ameutent une population exigeante qui fait aussi de facto de ces meetings bizarres et rockeux un super terrain de chasse à but musico-sexuel.
Mauvais sang ne sachant mentir, on admettra donc que l’avènement de GONZAÏ Magazine viendra compléter à merveille l’arsenal prosélyte du KGB Musical0-socialo-culturel dont la promesse, détaillée dans le prospectus ci-après copié-collé, est : des faits, des freaks, du fun. La chose sera disponible en boîte-aux-lettres en bas de chez vous, ou bien chez l’un des nombreux points de distribution associés, qu’ils soient disquaires de Paris (notamment Fargo Store, Balades Sonores, Exodisc, Ground Zero, Souffle Continu, Vinyle Office, All Access…) ou de province (notamment Total Heaven et Bam Balam à Bordeaux, La Face Cachée à Metz, Blindspot à Rennes, Madison à Tours…) ou d’autre pas de portes goûtus (Agnès B, La Gaîté Lyrique, le Cinéma le Nouveau Latina… et certainement à terme chez Jean-Marie Boucherie, Joué Club, le Sexodrome et le Centre E. Leclerc de Dammarie Les Lys).
Alors, alors, pour que GONZAÏ réchauffe dès janvier vos ménages et vos méninges, jetez vous sur le très chouette site Ulule et pré-commandez vos premier numéros (7€ pour un, 18€ pour trois, avec en bonus une lechouille tapuscrite à la mano par le tôlier – oui, ça ne vaut rien, c’est pour ça que ça n’a pas de prix). Le premier numéro sera vôtre dès le 15 janvier 2013.
C’est ici, foncez : ulule.com/gonzai-magazine/
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