"Je me sens rajeuni. C'est un tout nouveau départ pour moi" a-t-il dit au New York Post.
Habitué à un rôle de franchise player, Johnson est désormais un simple rouage, utile mais pas indispensable, d'une machine pas encore bien huilée. Mais ce changement de statut ne l’incommode pas le moins du monde. Au contraire.
"Je n'endosse plus le costume de leader, comme je pouvais le faire à Atlanta. Ici, le jeu passe plus par Deron Williams et Brook Lopez mais ça ne me dérange pas. Clairement, mon rôle a changé. Maintenant, je vais plus jouer dans l'ombre de ces gars-là que eux ne vont jouer dans la mienne.