"Bonheurs et malheurs du reportage humanitaire"
Avec ses lunettes cerclées, ses cheveux frisés et son air de grand adolescent, Mani a l’allure de l’éternel étudiant. Il vient pourtant de recevoir le « visa d’or humanitaire » remis par le CICR aux photographes qui ont pu témoigner de la difficulté des missions médicales en situation de guerre. Mani est sans doute le premier surpris par cette récompense remise à l’ouverture du festival « visa pour l’image » pour son travail en Syrie. Pour lui, l’humanitaire n’est pas une spécialité ; on en fait sans le savoir…Il veut simplement « documenter un événement » comme il dit : « je viens là pour dénoncer une situation, informer l’opinion, pas spécialement pour faire de la photo humanitaire ». (Lire la suite sur le blog de Philippe Rochot)
A revoir l'entretien vidéo avec Mani en septembre dernier à Visa pour l'Image.
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