Les responsables du PSG avaient remis en cause la décision de M. Turpin d’expulser Mamadou Sakho en tout début de match. Ils avaient ensuite après le match fortement critiqué l’arbitre et l’arbitrage en général en France. Des attaques en règles critiquées par les médias. Ce contre quoi s’insurge le président girondin, Jean-Louis Triaud : « Je revendique le droit de déclarer ce que je veux sur les arbitres après les matches » a-t-il déclaré rapporte le quotidien Le Parisien.
« Aujourd’hui, personne n’échappe à la critique. Les ministres, les juges, les hommes politiques. Et on ne pourrait plus rien dire sur les arbitres ? Sans l’insulter et remettre en cause son intégrité, on doit pouvoir dire qu’un arbitre est mauvais » a-t-il ajouté.
La FFF ne semble pas sur la même longueur d’onde que le dirigeant bordelais puisqu’elle a saisi la Commission d’Ethique devant laquelle Leonardo risque des sanctions. A l’époque, Jean-Louis Triaud, qui avait lui aussi une fois critiqué fortement l’arbitrage, avait écopé d’une amende de 3.000 euros.