La terraformation universelle

Publié le 13 novembre 2012 par Feydharkonnen

C'est un grand jour pour la physique alternative!

Ce double astéroïde géocroiseur tournant autour du Soleil présente plusieurs opportunités que nous ne manquons pas de saisir!

Voici les deux objets en question de ce système binaire

Ci-dessus: l'astéroïde alpha 1999 KW4  (voir plus bas, en animation ) ....  et son compagnon beta 1999 KW4 que l'on voit mieux ci-dessous

Ces deux compères sympathiques voyagent à 4,4 MILLIONS  de kms de la terre  mais s'en rapprochent parfois beaucoup plus!

Le plus petit (ci-dessus) tourne autour du premier de cette façon; image tirée de ce site commercial intéressant

Remarquez le "ridge", la "crête" ou plutôt le renflement équatorial incroyablement développé de Alpha 1999 KW4; la valeur de cette particularité serait invisible si le blog antigravity n'accordait pas une importance capitale à la formation d'un champ magnétique de protection grâce aux forces de Van Allen que sont les spires ou bobine magnétique(s) naissant précisément autour du renflement.

Comment en être sûr ?

Regardons ces images radar venues du téléscope d'Arecibo, empruntées à ce site

Voyons la bande bleue d'Alpha: elle trahit la présence extrêmement régulière d'une ligne de force éthérique absolument incompatible avec l'aspect brutal très irrégulier de cet "astéroïde".


Sur Terre, une telle configuration énergétique prévaut à l'intérieur du renflement équatorial que nous connaissons, et qui sert de trame intérieure aux forces de van Allen, dont j'ai parlé plus haut, et qui se présentent, comme ceci, sur Terre, même si ce champ n'est pas encore détecté sur l'astéroïde binaire de cette page.

Ci-dessus, petit rappel (en jaune) de la "bobine de Van Allen", un champ magnétique de torsion centré sur le renflement équatorial terrestre.

Mais revenons à l'image du télescope d'Arecibo !

Et remarquons qu'au pôle Nord d'Alpha 1999 KW4 se trouve non seulement un trou polaire,

une dépression géophysique importante, mais aussi un hexagone de type saturnien éblouissant lui aussi,  de régularité !

Autre confimation intéressante, mais détournée par l'establishment scientifique

La NASA prétend qu'une partie de cette image radar  est en fait le parcours singulier de son compagnon Beta, de haut en bas autour de Alpha 1999 KW4 .

Il n'en est rien;  le site commercial cité plus haut ne montre qu'un parcours orbital équatorial !

Donc la trace blanche verticale est quelque chose de nouveau, peut-être en rapport avec un réseau Hartman en formation.  Mais attendons d'autres images de notre Univers infini.

Donc ceci est bien la trace d'une résonnance parfaitement circulaire et interne du renflement équatorial aux ondes radar de Alpha

Autre exemple: traduisons un article publié en anglais

C'est à propos d'un corps céleste en forme de soucoupe volante, du nom de Atlas, qui orbite à 137 630 km de l'équateur de Saturne, sur un anneau de 300 kms de large. C'est un satellite berger, CAD qu'il limite par gravité les bords d'un anneau, et le délimite par la même occasion.

Voici cet article, en italique

   Un petit satellite, du nom de Atlas, proche de Saturne, possède une énigmatique forme de soucoupe  (selon les Japonais Naoyuki Hirata de l'université de Tokyo, et Hideaki Miyamoto de l'institut des Sciences Planétaires de Tucson, USA) .

Selon eux, cette forme étrange serait causée par une accumulation de particules venant de l'anneau A de Saturne.

Toutefois, sa surface lisse inhabituelle reste inexpliquée. Le polissage de la surface d'Atlas, ne peut être justifié par le biais d'impacts parmanents de particules, car un autre satellite de Saturne, Prométhée, ne présente pas une surface semblable, bien que lui aussi eût subi un bombardement similaire.

Prométhée ci-contre,  autre satellite berger des anneaux de Saturne

Une by DownloadNSave"> by DownloadNSave"> by DownloadNSave">enquête détaillée à l'aide d'images rapprochées d'Atlas révèle que sa surface n'est couverte que de particules fines (sans doute aussi petites que quelques dizaines de micromètres), surface la plupart du temps vide de cratères d'impact (un seul a été identifié jusqu'ici) et continuellement lisse, même entre la crête équatoriale et la région vallonnée polaire.

Ces résultats impliquent qu'une certaine forme de processus d'effacements de cratères a été active sur la surface d'Atlas.

A partir d'analyses électrostatiques, nous envisageons que la couche supérieure où se trouve la plupart des particules fines, a pu devenir électro-statiquement instable et migrer comme de la poussière en lévitation, ce qui a entraîné l'effacement des cratères à la surface du satellite.

Si cela est vrai, Atlas représenterait le premier corps reconnu où le re-surfaçage est dominé par de la poussière en lévitation.

Ainsi donc, des scientifiques commencent à parler littéralement de forces de lévitation ("électrostatiques"), parce que d'antigravité ils ne veulent encore parler...

Cependant, leurs explications sont incongrues: ils auraient repréré sur Atlas une couche de poussière de quelques "millièmes de millimètres (microns)" à partir des photos à distance lointaine transmises par la sonde Cassini, et ces poussières...en lévitation auraient érodé sa surface.  Etranges déductions, pour un polissage de surface que les scientifiques ne comprennent pas.

Il n'y a qu'un pas pour se rendre compte que des forces de répulsion sont actives pour maintenir la présence des anneaux de Saturne, et que ces forces de répulsion (antigravité) retravaillent entièrement, depuis leur surface jusques dans les profondeurs, les satellites orbitant dans les anneaux.

Phobos, satellite de Mars, ci-dessus, envoie "léviter" toute poussière ou caillou, débarassant ainsi extraordinairement son aspect de toute 'impureté visible', bien qu'il n'orbite pas dans un système d'anneaux. Le lissage de sa surface embarasse, par contre, beaucoup de monde...

Tout comme la Terre possède un renflement équatorial, avec sa crête et ses forces de Van Allen, les satellites des anneaux subissent une formidable planétarisation (transformation planétaire), qui amènera tôt ou tard l'existence d'un champ magnétique sur ces satellites de plus en plus "vivants", en relation avec leur parent adoptif : Saturne.

Comme sur l'image ci-dessus, relation par flux d'électrons entre Io et son parent Jupiter

Sur Terre, le champ magnétique protège sa surface du plasma solaire ; sur cette image, deux courants résiduels (de sens opposés) de plasma sont maintenus au niveau des tropiques, dans l'ionosphère. Pour ma part, il s'agit de charges positives uniquement

87 Sylvia, l'étrange système d'asteroïdes de la Ceinture Principale

   Entre Mars et Jupiter, l'on trouve la Ceinture Principale d'astéroîdes de notre système solaire. Il en existe bien sûr d'autres, comme la ceinture de Kuyper, au-delà de Neptune, et, plus loin encore, le nuage de OORT, aux confins du système solaire, là où l'influence gravitationnelle du système s'annule avec le reste de la Galaxie (la Voie Lactée).

Mais nous allons nous intéresser spécialement à un astéroïde, qui gravite dans la Ceinture Principale autour du Soleil à l'intérieur d'un système unique, c'est-à-dire que plusieurs autres

Asteroïdes orbitent sagement autour de lui...

   Ci-dessus, une représentation de la ceinture Principale dans le gigantesque espace compris entre mars et jupiter.

   Ainsi donc, le fameux objet céleste dont nous parlons, au nom de 87 Sylvia, "perdu" quelque part dans la Ceinture Principale, est unique parce qu'il présente autour de lui plus d'autres "congénères" en orbite, comme on le voit sur cette image.

Il a la forme d'un "patatoïde" et est représenté ici sur cette image à la fois au centre sur fond noir, et dans la lucarne

Remarquons ( ci-dessus, montrés en pointillés sur l'image ) les 2 étranges anneaux d'asteroïdes plus petits qui se sont formés autour de Sylvia 87, et qui délimitent littéralement un plan de l'écliptique, tout comme notre Terre s'inscrit avec ses planètes-soeurs, par sa trajectoire autour du Soleil,  sur un Plan de l'Ecliptique.

   Ici, en très brillant ... - trop brillant- ... le groupe d'astéroîdes composé de Sylvia, au centre, et Romulus, indiqué par la flèche. L'on peut s'étonner de ce groupe de corps célestes à plus d'un titre.

Les théories de la physique galiléenne, newtonienne sur la seule combinaison de la gravitation universelle avec la cinétique des corps ne fonctionnent pas ici.

     

   Premièrement, comme on le voit sur cette image d'artiste ci-contre, les astéroïdes présentent inexplicablement la qualité d'être "propre", c'est-à-dire qu'aucune poussière, et aucn "caillou" , aucun rocher, ne vient jamais s'agglutiner - par gravité- au 'corps" d'un astéroïde ou à l'élément principal d'un système d'astéroïdes.

Ci-contre, système de Sylvia 87, vue d'artiste, crédit ESO

  Deuxièmement, ce système est en équilibre depuis des millions d'années peut-être, ce qui , pareillement à ce qui se passe pour les planètes de notre système autour du Soleil, est un non-sens, si 'lon sait que l'équilibre entre le gravitationnel et le cinétique peut être bousculé par l'arrivée d'un autre corps céleste, transformant rapidement une "belle harmonie" en un "jeu de quilles"...que nous n'obervons pas !

   Troisièment, et nous ne le voyons pas sur cette vue d'artiste, mais bien sur les autres images, Sylvia est trop brillant: qu'est-ce qui peut bien l'éclairer de la sorte ? Certainement pas le Soleil, car Sylvia se trouve 2,5 plus éloigné, sur la carte du ciel, que la Terre par rapport au Soleil.  Il apparaît, sur l'image ci-dessous, qu'une lumière brille de l'intérieur de ce corps céleste.

   Quatrièmement: l'existence d'un plan de l'écliptique, est tout à fait étrange, même si les physiciens ont une explication "cinétique " à proposer.

Ils envoient ainsi au panier tout étonnement de notre part, car une ou plusieurs lois leur sont inconnues, dont celle de la polarité gravitationnelle.

   A gauche du "foyer lumineux" de Sylvia 87, on distingue Romulus, en clair, et Remus, en rouge. Image prise le 9 Août 2004  par le télescope de 8 mètres du VLT, dans la bande K

   Cinquièmement, autre sujet d'étonnement : il se forme des crêtes sur certains satellites /astéroïdes que l'on pourrait retrouver éventuellement sur Sylvia.

  

  Ces crêtes, que l'on appelle "renflements équatoriaux" à propos des planètes (dont la Terre), sont appelées "ridges" en anglais.

Voici quelques images de ces phénomènes de "construction" planétaire, qui trahissent la présence d'une activité électromagnétique interne, intense ou très étendue dans le temps, activités qui se manifestent sur Terre par la puissante présence des ceintures de Van Allen.

Ici, Epimetheus, satellite de Saturne. Voyager 1, année 1999

 Sixièmement, l'existence des asteroïdes, que l'on dits "troyens", disposés à un certain angle l'un de l'autre autour d'une planète et indépendants de leur masse recpective pour cette qualité troyenne, définit également des lois fondamentales que nous ignorons pour l'instant.

Ces lois ne sont décrites ni par Newton, ni par Kepler.

Ci-contre: Helène, astéroïde troyen , satellite de Saturne, présente déjà un renflement que l'on voit ici en haut de l'astre, en très belle définition.

Remarquons aussi et toujours la "propreté"

anormale de ces corps célestes.

Ci-dessous un système binaire d'atéroïdes auto-satellitaire, autonome de toute planète, à l'instar de Sylvia 87. Il présente un renflement, ce qui nous fait dire que l'existence de cette "ride" semble aidée de la présence d'astre plus gros, mais du "compagnonage" d'un astre plus petit...

Ils'agit de 1999 KW 4.

Image en fichier Gif animée, tirée de Wikimedia. Remarquons aussi le "creusement aux pôles", déjà présent.  La Vie est partout. Et la 4ième dimension aussi.

 Allez directement sur cet article, montrant beaucoup mieux l'étrangeté du système binaire de "cosmos" 1999 KW 4

Ci-dessus, les anneaux "dérangés" de Saturne: les astéroides occupent une place bien trop "gentille" dans les anneaux; s'ils sont perturbés par l'arrivée d'un gros satellite, comme Mimas, par exemple, ils reprennent leur position comme si de rien n'était.  Remarquez: un groupe d'astéroIdes se range "à gauche" de leur ligne orbitale, puis un autre groupe "à droite"     Inexplicable, encore et encore: ils devraient voltiger CHACUN dans toutes les directions de la 3ième dimension.

De plus, les groupes  d'astéroïdes disposés en anneau autour des planètes se tordent littéralement, aussi bien sur Saturne, que l'on voit ci-contre dans une

vue d'ensemble floue, mais tout a fait étonnante...Comme si les anneaux se repoussaient les uns les autres, en essayant de se dominer mutuellement.

Et ci-dessous sur Neptune, quel est cet étrange comportement pour ce phénomène d'anneaux combinés que l'on appelle à tort  "l'anneau Adams" ?