Communiquer par les réseaux sociaux n’est plus l’apanage des start-up du web ni des grands groupes internationaux. Ces derniers ont montré le chemin certes, en testant les outils et en mettant en place des stratégies digitales prônant l’usage des Facebook, Twitter, Linkedin, Google +, ou autres Pinterest et Instagram.
Aujourd’hui, les PME prouvent qu’elles ne sont pas en reste. Elles ont compris qu’on ne peut plus se passer des médias sociaux pour communiquer et promouvoir une entreprise, un produit, un service ou même une personne. Il ne s’agit plus seulement de notoriété mais bien d’acquisition de clients. Une étude de Vertical Response parle d’un tiers des PME américaines publiant au moins une fois par jour. Et 66% allouent plus de temps et de budget que l’année précédente sur leur stratégie sociale.
En France, même si on a toujours un temps de retard, nous avons nous, recruteurs, un indicateur qui montre la même tendance : la création de postes de Community managers au sein des PME.
Ces fonctions restent assez générales et très polyvalentes, demandant une bonne connaissance de différents domaines, sans pour autant être expert dans l’un d’entre eux. Entendez qu’elles cumulent des fonctions de webmaster, de référenceur, de chef de projet web, de rédacteur, etc. Typiquement le genre de poste que l’on a recruté pour les premiers CM des grandes entreprises il y a 4 ans.
En parallèle, au sein des services com’, internet ou marketing des grands comptes, on voit aujourd’hui le métier de Community manager se segmenter. On y retrouve des définitions de postes beaucoup plus précises telles que des Community architects, des Social media managers, des Experts veille ou intelligence économique, des Experts en social gaming, …
Autant de nouveaux métiers qui rendent le web de plus en plus attractif.
Sources : l’Atelier Bnp-Paribas, L’Entreprise, Vertical Response
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