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Je suis la marquise de Carabas, de Lucile Bordes

Par Shoparoundtheco @shoparoundthecorner

Bonjour et bon 11 Novembre à tous!

Je vais vous parler ce matin du second livre que j’ai choisi dans le cadre d’un cours sur la Rentrée Littéraire de septembre.

Le premier était Une place à prendre, de J.K Rowling, souvenez-vous. Le second est beaucoup moins connu je pense, il n’a malheureusement pas bénéficié de la même publicité que le précédent. Car il s’agit en effet du premier roman de l’auteure: Je suis la marquise de Carabas, publié aux éditions Liana Levi.

Je n’ai pas lu cet ouvrage avec le même entrain que le premier, même si celui-ci est 6x moins long (seulement 139 pages). Mais voilà, je l’ai trouvé un peu rébarbatif, on tourne un peu en rond car l’histoire se répète avec beaucoup de similitudes d’une génération à une autre. Par contre c’est un livre très bien écrit, aucun doute là-dessus. On va suivre l’évolution d’une famille à partir de 1850 jusqu’en 1950 à peu près, puis on se retrouve dans les années 1990 car la narratrice est en réalité l’auteur, la dernière pousse de cet arbre généalogique particulier, et également, vous l’aurez compris, la marquise de Carabas.

 

Je suis la marquise de Carabas, de Lucile Bordes

 Pardonnez mon manque d’inspiration ce matin, car je vais simplement vous reporter la 4ème de couverture que je trouve plutôt bien faite, pour vous expliquer l’histoire.

Sait-on jamais tout de ses proches? Une jeune femme traque les indices discordants dans la biographie lisse de son grand-père, un instituteur au soir de sa vie. Remontant la piste d’un piano silencieux et de vieilles partitions de films muets, elle exhume un passé familial insoupçonné, celui d’une célèbre dynastie de marionnettistes forains. La voici dépositaire du monde féerique du Grand Théâtre Pitou. Auguste, un garçon épicier fasciné pas les saltimbanques, l’a fondé en 1850. Son fils Émile, virtuose du trucage et de la mise en scène, a fait sa gloire. La troisième génération, lassée d’une vie nomade, a tenté l’aventure du cinéma. Mais au final, pour la narratrice et son grand-père, dernier Pitou au bout de la route après cent cinquante ans, ce sont toujours les marionnettes qui tirent les ficelles. En privilégiant l’ellipse sur la précision historique, Lucile Bordes brosse dans ce roman plein de fantaisies le parcours d’une famille hors du commun, la sienne. 

Voici une petite biographie de l’auteur: Luciles Bordes, née en 1971 dans le Var, vit à la Seyne-sur-Mer. Maître de conférences à l’université de Nice, elle anime également des ateliers d’écriture. Je suis la marquise de Carabas est son premier roman. C’est au musée Gadagne, à Lyon, qu’elle a enfin pu voir une partie des décors et des marionnettes de ces arrière-arrière-grands-parents.

Toute petite anecdote sur ma propre « histoire », j’ai passé toutes mes vacances d’été quand j’étais plus jeune (j’ai du y aller 14 années de suite), avec mes grands-parents à la Seyne-sur-Mer! Et j’ai encore de la famille là-bas. Ces derniers temps, j’ai de plus en plus envie d’y retourner alors quelle n’a pas été ma surprise de lire que l’auteur habitait là-bas! Voilà, petit point « émotion » à 2€ et sans grand intérêt pour vous, au temps pour moi! Je vous laisse maintenant vous faire une idée de ce bouquin et n’hésitez pas si vous avez des questions

;)

Bon dimanche!

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