La complexité technique suffirait à elle-seule à rendre le challenge ambitieux. Mais pour le Lyonnais, qui se présente pour la première fois sur le Dakar, l’essentiel est ailleurs, puisque dans son périple vers Santiago, il associe les enfants hospitalisés en chambres stériles à l’Institut d’Hématologie et d’Oncologie Pédiatrique de Lyon. « Je fais un parallèle entre le défi sportif que je me lance, et celui que tous ces enfants doivent relever lorsqu’ils sont confrontés à des difficultés, à des souffrances de tous ordres. Leur ligne d’arrivée à eux, c’est la guérison. Je sais que de mon côté, avec la voiture que j’ai, je vais en baver et arriver le soir à pas d’heure ! Mais je n’ai pas le droit d’abandonner », explique Alain, qui dévoile ici toute l’âme de sa démarche. La cohérence et la probité du projet se retrouvent jusque dans son financement, monté selon un principe éthique aussi strict que déroutant : « je n’ai pas voulu de sponsors, mais uniquement des mécènes. Je ne veux pas qu’il y ait un gramme de business dans ce projet, aucune entreprise n’aura un autocollant sur ma voiture. Tous ceux qui ont donné l’ont fait avec le cœur. Et je peux vous dire que la fibre généreuse des gens existe bel et bien ». René Lanouille
La complexité technique suffirait à elle-seule à rendre le challenge ambitieux. Mais pour le Lyonnais, qui se présente pour la première fois sur le Dakar, l’essentiel est ailleurs, puisque dans son périple vers Santiago, il associe les enfants hospitalisés en chambres stériles à l’Institut d’Hématologie et d’Oncologie Pédiatrique de Lyon. « Je fais un parallèle entre le défi sportif que je me lance, et celui que tous ces enfants doivent relever lorsqu’ils sont confrontés à des difficultés, à des souffrances de tous ordres. Leur ligne d’arrivée à eux, c’est la guérison. Je sais que de mon côté, avec la voiture que j’ai, je vais en baver et arriver le soir à pas d’heure ! Mais je n’ai pas le droit d’abandonner », explique Alain, qui dévoile ici toute l’âme de sa démarche. La cohérence et la probité du projet se retrouvent jusque dans son financement, monté selon un principe éthique aussi strict que déroutant : « je n’ai pas voulu de sponsors, mais uniquement des mécènes. Je ne veux pas qu’il y ait un gramme de business dans ce projet, aucune entreprise n’aura un autocollant sur ma voiture. Tous ceux qui ont donné l’ont fait avec le cœur. Et je peux vous dire que la fibre généreuse des gens existe bel et bien ». René Lanouille