Par Laréus Gangoueus : Kimia est une enfant de Poto-Poto. Quand commence le roman, nous sommes à l'orée des indépendances. Dipanda. Je souris en lisant ce mot en lingala venant sans aucun doute du français « dépendance ». Dans cette première phase de ce roman, Henri Lopes met en scène cette Afrique des indépendances, qui fête cette soit-disante liberté si chèrement acquise. Rumba à gogo au menu. Ces premières pages qui relatent l'atmosphère avec beaucoup de virtuosité de Poto-Poto, l'un des quartiers dits (...)
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