Désorienté par la profondeur du vide
Qui accroit chaque jour les cercles de l’ombre
Au creux de ce tourbillon de lumière
Que le vent propage jusqu’au soir
Tu cherches à recomposer
Dans le silence absolu de l’air
L’éclat d’une voix déjà oubliée
Mais qui scintille encore
Comme une étoile morte
Dans la nuit obscure des mots.
François Teyssandier.