C’est aujourd’hui le 165ème anniversaire de Bram Stoker, la papa de Dracula, ainsi que nous le rappelle gentiment Google. Non que je sois férue de films d’horreur ou encore de fantastique mais le Dracula de Francis Ford Coppola, sorti en 1992, a sa place dans mon Panthéon cinématographique.
Gary Oldman, porteur décomplexé de lunettes bleues (certainement empruntées à Michou rue des Abbesses), ne représente certes pas le comte dans sa version la plus académique, le boooo Keanu Reeves lui faisait une belle concurrence en Jonathan Harker et Winona Ryder déchaînait les passions. Mais voilà, midinette j’étais, midinette je suis restée et l’histoire du courageux comte Vlad Dracula, terrassé-de-douleur-à-la-mort-de-sa-bienaimée,-reniant-l’Eglise,-damné,-devenu-vampire-pour-venger-à-tout-jamais-sa-mort-injuste, ben moi, ça m’avait bien plu. Na.