Les vacances de la Toussaint sont une bonne occasion pour lire quelques mangas… Et pour en parler. L’équipe de Paoru.fr s’est donc réunis autour de plusieurs tomes – 16 pour être exact – afin de vous proposer un petit best-of de leur dernière lecture. Chaque rédacteur a pu mettre en avant deux tomes d’une série qu’il suit depuis déjà quelques temps, afin de la (re)mettre en lumière et de confirmer son potentiel. Si vous cherchez une nouvelle série qui a fait ses preuves, c’est peut-être l’occasion !
N’hésitez pas à réagir dans les commentaires et à nous donnez, vous aussi, vos séries coup de cœur !
C’est parti, bonne lecture !
Le tome 4 de The Civilization Blaster m’avait enthousiasmé : je pensais que certains évènements ne se produiraient qu’à la fin du manga, voire pas du tout, mais Kyô Shirodaira n’a pas hésité à faire évoluer son histoire bien au delà. Du coup la donne a changé, et les alliances avec elle : les frontières se brouillent entre amis, alliés ou ennemis, on ne sait plus qui a raison ou tord, ni même où se trouve l’ennemi. On avait compris qu’ici les antagonistes n’étaient pas de simples sales types à abattre, ni les héros de jeunes idiots naïfs et courageux, et c’est toujours plus vrai au fil des tomes, avec des « méchants » aux motivations légitimes, et des « gentils » aussi intelligents que réfléchis. Tous continuent de se débattre dans l’incertitude, pris dans la toile de « l’ordre du monde » sous l’influence des deux arbres-dieux aux desseins impénétrables.
Ici, pas de combats interminables qui ne font pas avancer l’histoire d’un iota. Bien au contraire, la situation évolue constamment, au rythme de « simples conversations » aussi stratégiques que passionnantes. On a même droit à une petite incursion du coté de la comédie romantique, dans une ambiance presque détendue, mais cela pour mieux justifier finalement les évènements à venir… Qu’on attend avec impatience.
Après un arc assez court qui aura pu en décevoir certains, le tome 20 de Soul Eater semblait démarrer tranquillement un nouvel arc, réussissant malgré tout à nous mettre sur les fesses avec une fin de tome totalement inattendue. En réalité il ne s’agissait que d’un prélude à ce qui semble bel et bien être le commencement de la fin !!
Pourtant, avec les éléments en place il y avait matière à faire encore plusieurs arcs faciles, sans prendre de risque, en vendant des dizaines de tomes. Mais non, sans crier gare, Atsushi Ohkubo nous prend à contrepied et sort le grand jeu, déclarant d’emblée le début des hostilités. Alors, forcément, on se demande comment tout ceci va pouvoir se goupiller, plusieurs choses différentes restant à régler. Mais, dès lors, il est impossible de deviner comment les choses vont se dérouler et cet arc final devrait donc nous réserver encore pas mal de surprises, plus que jamais dans cette ambiance sombre suintant la folie à chaque page, une marque de fabrique de Soul Eater.
Quant à la partie graphique, il est bien loin le style simpliste et maladroit des débuts, et la personnalité artistique très marquée du titre jouit aujourd’hui d’un dessin parfaitement maitrisé, pour un résultat visuellement… Dément !!
Tout commence par un background très simple : une fillette, un jeune garçon aux cheveux blancs, un voyage. Tout au long de ce voyage, où les protagonistes recherchent des « fragments », ils vont découvrir un monde cruel, dirigé par des adultes avides de pouvoir qui sont montrés comme des personnes compliquées et subtiles.
Malgré la trame assez basique on y retrouve des personnages complexes et attachants. D’autant que cette histoire se nourrit des espoirs de quelques enfants persuadés d’être sur le point de découvrir une vie merveilleuse. Plus on avance dans les tomes, plus l’histoire s’approfondit et devient intéressante même si elle reste, globalement, assez difficile à suivre. L’émotion des personnages y est retranscrite parfaitement en revanche, et le style poétique des dessins y contribue grandement.
Ce tome clôture donc la série, une très belle série, qui ressemble à un conte de fées moderne dans un monde cruel, ou la violence est omniprésente.
En tant que grand fan de Reborn, j’avais envie d’en parler. Ce tome 33 continue donc dans la lignée des combats contre les Simon. Deux combats auront lieu dans ce tome, Lambo devra faire face à Rarge Ôyama, et Gokudera à Shitt P. (Petite mention pour ce personnage très fun)
Sans vous spoiler sur l’issue des combats, disons que l’arc de succession continue de manière linéaire, les combats s’enchaînant un par un et suivant le même ordre que l’arc Varia et chacun doit utiliser ses atouts pour emporter la victoire. Chaque combat inclut un flashback sur la rencontre des deux familles originelles, révélant des points intéressants sur l’histoire.
Le tome 33 contient certes des défauts : les combats qui sont expédiés très rapidement et certains flashbacks auraient peut-être mérité d’être rallongés. Cet arc narratif peut paraître moins intéressant, surtout si l’on compare ce tome avec l’arc Varia ou celui du futur, mais la qualité graphique de l’œuvre rend le tout très agréable.
Enigma est un manga situé entre shônen et seinen. Au programme : pouvoirs, énigmes et mystères.
Un individu nommé Enigma enferme nos héros dans leur lycée. Dans ce même lycée, ils devront résoudre différentes énigmes avec l’aide de leurs pouvoirs sous peine de rester bloqués à jamais dans ce lycée. C’est avec ce scénario assez classique que débute ce manga. Autant le dire, au début, le scénario n’est pas vraiment intéressant. Mais, au fur et à mesure des volumes, le récit se développe et devient bien plus intéressant.
Plusieurs questions qui se posent, dont la principale concerne l’identité d’Enigma. Avec la résolution des énigmes, c’est aussi grâce à ce dernier que l’histoire prend de la valeur, et tous les protagonistes apportent eux aussi leur pierre à l’édifice. En effet, chacun possède un pouvoir différent qui va permettre de résoudre les énigmes. De plus, plus on en apprend sur eux, plus on s’y attache et ils deviennent sympathiques. Le coup de crayon plutôt réussi achève de convaincre. Au final, on a affaire à un manga très intéressant qui monte en puissance au fil des volumes. On a qu’une seule envie : lire la suite !
Suite de Tokyo Toybox, Giga Tokyo Toybox du duo Ume nous plonge dans l’univers du jeu vidéo. En effet, nous suivons le studio G3 durant les différentes étapes de la création d’un jeu vidéo. À première vue, on peut craindre que le scénario du manga soit uniquement basé sur la création. Heureusement, non. Les personnages sont très bien développés et ont tous un rôle à jouer. Ils possèdent d’ailleurs des personnalités différentes, entrainant de nombreux retournements de situations durant le développement. De plus, chaque étape de la création nous apporte de nouveaux protagonistes et donc, de nouvelles intrigues.
Giga Tokyo Toybox est globalement assez réaliste. On retrouve bien l’univers du jeu vidéo et tous ses problèmes, comme la censure. Concernant le dessin, il est certes classique, mais assez réussi, ce qui permet de se plonger davantage dans l’univers. Fans de jeu vidéo, vous l’aurez compris, vous retrouverez votre univers favori dans Giga Tokyo Toybox. Pour les autres, le manga peut vous plaire grâce à ses personnages et son scénario qui sont tout deux assez élaborés. Cela fait des mois que Giga Tokyo Toybox nous passionne et cela n’est pas près de s’arrêter !
Dès les 1ères pages, le ton est donné : sévices sexuels, bastons ensanglantées, meurtres… La mention « pour public averti » au dos du tome n’est pas usurpée et l’outro explicative de l’éditeur met les points sur les i. Une fois cet accord moral entendu, vous pouvez rejoindre l’univers sombre de Ryo Narushima.
Cet anti-héros de l’histoire justement, parlons-en. Ryo est tout d’abord une victime de la société qui l’étouffe et qui, le poussant dans un instinct de survie animal, tue ses parents et détruit par là même tout le monde qui l’entourait jusqu’alors. Ce postulat de base sert de toile de fond durant la 1ère partie de l’histoire.
L’autre thème de Coq de combat est, bien-sûr, les arts martiaux. Ceux-ci nous sont présentés dans un paradoxe que les pratiquants doivent connaître : l’origine de l’art guerrier et sa version « sportive » tout public. Le karate est évidemment au centre de l’intrigue mais la série nous emmène dans un tour du monde des arts de combat.
Le travail sur l’anatomie est très important, cependant le chara-design de l’auteur, notamment au niveau du visage, ne plaira pas à tout le monde et on remarque beaucoup de similitudes d’un protagoniste à un autre. Le découpage des cases est des plus sommaire, mais cela confère à l’action clarté et précision.
Bref, voici un manga très graphique – presque contemplatif – mais aussi critique envers la société moderne à travers le prisme des arts martiaux.
City Hall est un global manga. Pour ceux du fond qui ne serait pas encore familier du terme, il désigne un manga réalisé par des auteurs occidentaux. J’ai rarement était satisfait de la production française et c’est donc avec des préjugés que j’entame la lecture de City Hall.
Et qu’elle ne fut pas ma surprise lorsque je découvris des dessins très proches des standards nippons, proches de ceux de Bakuman. En effet le dessinateur Guillaume LAPEYRE ne se cache pas d’être un grand fan de Takeshi Obata et son tandem avec le scénariste Remi Guérin n’est pas sans rappeler celui de Mashiro/Takagi.
Plantons maintenant le décor. Dans un Londres réinventé, l’encre et le papier sont proscrits car ils constituent une arme redoutable : tout ce que l’on écrit prend vie. Un mystérieux malfrat y sème la pagaille et ce n’est autre que Jules Verne et Arthur Conan Doyle qui tenteront d’y mettre un terme. Rémi Guérin joue avec les icônes de l’Histoire et nous propose une foule d’intervenants dans un univers steampunk qui sied à l’ambiance.
Selon le succès de la série, celle-ci à la capacité de redémarrer scénaristiquement pour un second arc avec de nouvelle figures historique à la clé. On est en tout cas ravi de ce nouveau titre d’Ankama, qui semble être le meilleur producteur possible pour ce genre de projet et à su laisser carte blanche à ses auteurs.
Yukitaka Shiki a besoin d’argent. De beaucoup d’argent. Forcément, lorsqu’une jeune femme lui propose de tuer un criminel pour cinq millions de yens, il ne dit pas non, croyant à un canular. Ce n’est qu’en revoyant la demoiselle, le lendemain, qu’il se rend compte qu’il s’agissait de tout sauf d’une blague !
Yukitaka et Kuzumi, son nouveau partenaire, se retrouvent chargés d’abattre un trafiquant. En fouillant le sous-sol de sa maison, ils ont la surprise de trouver… Une jeune fille, Itsuki, qui est bien décidée à les aider grâce à son mystérieux pouvoir. Entre son quotidien sur lequel Itsuki vient se greffer et ses missions d’assassinat, Yukitaka s’interroge : a-t-on le droit de tuer quelqu’un parce qu’il est un criminel ? Doit-il tuer pour payer le traitement qui permet à sa sœur de vivre ?
Tandis que chacun de ses camarades a déjà son avis sur la question, Yukitaka cherche sa propre réponse, mais y trouvera-t-il le salut ou glissera-t-il doucement vers la folie ?
Outre la casuistique (Toi aussi apprends des nouveaux mots avec Painfool, NDRamza) latente du sujet, Yua Kotegawa arrive à surprendre le lecteur grâce à ses personnages uniques et attachants.
Ce second volet de Mad World conte l’histoire de Nao Sugawara, dont la mère est morte après s’être remariée avec un homme riche et bienveillant. Bien que son beau père se soit toujours bien occupé d’elle, Nao garde une boule au fond de son cœur : elle n’appartient pas à cette famille…
L’arrivée d’une nouvelle femme dans la vie de son père adoptif na fait qu’envenimer les choses. Elle va alors fuguer en faisant croire à un kidnapping, afin de tester les liens qui l’unissent à cette famille recomposée. Mais ce qui n’était au début qu’une petite fugue sans conséquence va vite échapper au contrôle de la petite Nao ! Jusqu’où son besoin de reconnaissance la portera-t-il ?
Mad World est une série en trois volumes, chacun étant l’adaptation d’une œuvre originale d’Otsuichi par Hiro Kiyohara, dont le talent n’est pas à démontrer, notamment pour les portraits. Précisons que ce n’est pas la première fois qu’une des œuvres d’Otsuichi est transposée en manga, puisqu’un de ses recueils de nouvelles, GOTH, a déjà fait l’objet d’une adaptation en 2006 chez Pika.
Le volume 8 de Dream Team est paru le 3 octobre dernier. Tout commence avec Sora, qui est toujours dans le doute le plus total concernant son fameux tir à 3 points du dernier match. Son jeu est ébranlé, mais il pourra compter sur le soutien de son équipe, et aussi de Madoka.
Les préparatifs pour les éliminatoires départementales commencent dans ce volume, et Nao souhaite un nouveau joueur dans l’équipe. Cela tombe à pic, car ce volume se démarque par l’apparition d’un nouveau personnage : Kaname. Avec ses (presque) 2 mètres de hauteur et sa « maladie » (un prétexte pour ne pas jouer au basket), ce personnage cache en lui une profonde blessure : son passé – un amour déçu – et son manque de confiance en lui en font un personnage attachant… On ne demande qu’à le connaître davantage ! L’auteur n’hésite d’ailleurs pas à le mettre en avant tout au long du volume, pour qu’il évolue et s’assume !
Les relations sont plus que soudées dans ce volume, également plein d’humour. Le plaisir de lecture est omniprésent et en fait un tome à ne pas rater !
On entre dans la dernière partie de ce manga avec le volume 37. Joie et tristesse sont au rendez-vous !
Les péripéties de plusieurs élèves de la 3-A nous amènent plusieurs moments comiques : Natsumi et Kotarô, Chisame et le cadeau de Negi, Chachamaru et Evangeline, le triple rendez-vous avec les pom-poms girls… Sans compter que 2 nouveau pactios sont à l’honneur !
Le projet Mars Bleue est mis en place : il consiste à transformer la planète Mars / Monde Magique en zone verte, c’est-à-dire à la terraformer pour la rendre habitable. Le but est d’empêcher la destruction du Monde Magique : un lourd projet complexe et de grande ampleur. Mais pour mener cette entreprise à son terme, une certaine personne devra se « sacrifier »…
Un très bon volume que nous propose Ken Akamatsu, entre humour et joie, pleurs et doutes… Le prochain volume verra la conclusion de la série Negima, avec notamment quelques surprises dont la fin de la fête du sport… Et bien plus encore !
Le tome 27 de Fairy Tail ne déroge pas à la règle que semble s’imposer Hiro Mashima avec cette série : chaque chapitre apporte son lot de rebondissements et nous tient en haleine d’autant plus que ces évolutions s’entremêlent pour créer une histoire riche en émotions, ce qui semble être le crédo principal de l’auteur pour se démarquer des autres mangakas (ainsi que sa capacité à dessiner des jolies filles).
La bataille entre Fairy Tail et Grimoire Hearts s’avère passionnante aussi bien par l’originalité des techniques utilisées, la mention spéciale de cet opus allant à la terriblement décalée « heure du bœuf » que par la création de liens entre les différents protagonistes qui devraient, comme souvent, se développer dans le futur de cet arc ou dans les suivants, notamment autour des personnages de Gray et de Lucy, ce qui était un peu prévisible malheureusement.
À l’inverse, la volonté de l’auteur de finir vite les combats n’est pas une nouveauté mais ne manquera pas de nous laisser sur notre fin à chaque fois qu’un personnage sera envoyé au tapis. Mais l’évolution de l’histoire doit certainement passer par ce type de sacrifices pour que Fairy Tail demeure un des mangas d’aventure les plus populaires.
Il y a dans les tomes d’Hikari no densetsu toute la magie des mangas des années 1980, pas encore victimes de leur succès, capables de jouer sur leurs points forts plutôt que de chercher à tout prix à esquiver leurs points faibles. Si ce tome 7 peut paraître léger comparés aux canons actuels du manga féminin, il compense plus que largement par l’émotion qui s’en dégage à tous les niveaux.
Hikari évolue certes dans un monde dénué de sentiments négatifs, où même les plus grandes rivales ne sauraient avoir de mauvaises pensées (même les bulgares, c’est tout dire) et où tout le monde s’apprécie et se respecte, mais sa vie n’en est pas moins difficile, obligée qu’elle est de se surpasser encore et toujours même après avoir tutoyé les sommets, et ce tome 7 saura la ramener à la dure réalité de gymnaste de haut niveau.
Ne lisez pas ce tome 7 pour son contenu, ni pour sa forme, en droite ligne avec les 6 premiers tomes, mais pour le pincement au cœur que l’on ressent immanquablement au fil des pages, pour la joie que l’on partage avec les protagonistes, et parce qu’avoir la larme à l’œil en lisant un manga n’a jamais fait de mal à personne, au contraire.
Le pacte entre Luna et Abraxas arrive à son terme et la destruction de l’humanité ne peut plus être repoussée. Gnostiques et catholiques vont-ils enfin la comprendre la futilité de leur conflit face aux gigantesques entités aliens qui se mettent à raser notre civilisation ?
Et quel est le destin d’Issa, le dernier ami de Luna encore en vie ? Pourra-t-il la sauver ou devra-t-il la tuer ?
Voici le dernier tome de ce seinen apocalyptique. Boichi se surpasse pour nous proposer un finish de toute beauté, où on savoure un nombre impressionnant de pleines pages et de doubles pages, dont une séquence magistrale où les vaisseaux aliens plongent sur nos mégalopoles. Après avoir observé la plastique sans défaut de Luna c’est Issei qui est transcendé dans les derniers chapitres qui vont faire de lui un homme et un sauveur.
Le scénario conserve son coté fourre-tout ésotérique et les références religieuses se montent les unes sur les autres avec fracas. Mais au diable (hu hu) la sainte logique, et laissez-vous bercer par ce mélange iconoclaste entre Bastard !! et Indépendance Day, dont la conclusion humaniste ne laisse pas indifférent, dans un sens ou dans un autre.
Aujourd’hui est un beau jour pour mourir. C’est la finale du Guns of Domination et Beat n’est plus qu’à un tir du sommet. Pour obtenir le titre de Gunman et défier Cole Hemerson, le tueur de son maître d’arme, il va devoir terrasser Tim Roy. Seulement cet homme n’est pas arrivé au sommet par hasard et il se pourrait bien qu’il soit le plus rapide !
Que le meilleur gagne… Et que le perdant meurt !
Malgré les apparences, Peace Maker ne va pas se conclure de si tôt. Ce septième tome fait pourtant monter la tension à son maximum : jamais les auras des duellistes n’ont été aussi imposantes, les regards aussi intenses, les issus des duels aussi… Tragiques. C’est un rideau maculé de sang qui tombe pour clore le premier acte de la série, après un enchaînement de 3 duels des plus sinistres. Plutôt que de tomber dans la facilité et de proposer une happy end rafistolée, Ryouji Minagawa enrichit son histoire, créé un background solide pour la suite et referme, d’une page noire, son premier tome.
Magistral !
Et voici la fin de ses chroniques d’automne, j’espère qu’elles vont ont donné envie de vous attaquer à de nouvelles séries ou d’en redémarrer certaines que vous auriez en suspend ! Bonne lecture à tous et n’hésitez pas à laisser un petit commentaire
Paoru.fr : retrouvez les chroniques de l’équipe !
Aout-Septembre : une rentrée bien chargée !
Septembre-Octobre : Les tomes qui se cachent sous les feuilles d’automne…