Il y a quatre ans, ici même, je m’extasiais devant l’élection de Barak Obama, premier président de couleur des Etats Unis d’Amérique, hier encore pays de racisme et avant-hier terre d’esclavage!
La campagne qui vient de s’achever par la réélection du champion démocrate n’a pas eu la même intensité que celle de 2008, notamment à l’étranger et surtout dans les pays arabes et musulmans.
Ce premier mandat a montré les limites du président des U.S.A. : ses limites face aux puissances financières, ses limites face à la crisé économique et financière et ses limites faces aux folies des dirigeants israéliens.
Que peut faire Barak Obama durant ce deuxième mandat? Pas grand chose, il faut bien le regretter!
La BARAKOBAMANIA n’a plus d’effet face aux dures réalités! Il ne reste donc plus qu’à subir encore quatre ans de Barak Obama!