Bones // Saison 8. Episode 5. The Method to the Madness.
Imaginez un peu comme j'ai été heureux de voir que Sweets était l'un des éléments principaux de l'histoire de cet épisode. Mais avant tout, je veux saluer l'introduction de l'épisode qui m'a fait
beaucoup rire pendant plusieurs minutes. Je regrette presque que Bones n'aille jamais plus loin dans l'humour qu'elle tente de dégager. Mais tout est évidemment ruiné en quelques minutes alors
que l'intrigue de Sweets fait son apparition. Booth invite Sweets chez lui et Brennan pendant qu'il tente de trouver un nouvel appartement. Si l'histoire aurait pu être sympathique avec un autre
personnage, Sweets continue de manquer d'humour. Le côté bras ballant du personnage n'aide pas non plus à apprécier la teneur même de l'épisode. Je ne comprends pas comment on peut oser trouver
drôle un personnage aussi passif. Il n'est jamais drôle (ou alors par omission uniquement). Et puis il n'est clairement plus du tout intéressant. Son intronisation au sein du casting régulier de
la série est l'une des plus grosses erreurs que la série ait pu faire.
Du coup, l'épisode tente alors de jouer avec le couple Brennan et Booth et le nouvel occupant de leur maison. Là encore, Bones aurait pu être une bonne petite partie amusante. Mais l'épisode ne
parvient jamais à délivrer ce que l'on peut attendre de lui. Les querelles de couple sont déjà vus et une fois que Sweets commence à mettre son grain de sel, c'est le pompon. Pour tout vous dire,
j'ai eu du mal avec l'épisode uniquement parce que ce personnage était au centre. Généralement, j'arrive à regarder les épisodes parce que j'aime beaucoup Emily Deschanel. En plus, les
scénaristes sont assez sadiques puisqu'ils m'ont offert pour me consoler ce que j'adore dans Bones : les moments intellos de Brennan. Je crois que c'est la première fois en deux saisons que le
personnage fait des interventions intelligentes en grand nombre. Cela m'a beaucoup rappelé la seconde saison de la série (la première était beaucoup plus sérieuse avant que le ton n'évolue vers
quelque chose de bien plus light).
Note : 1/10. En bref, Sweets continue de m'horripiler.