Voici les 2 dernières des 6 erreurs de storytelling appliquées à la vente. Pour revoir les 4 premières, et reconstituer la trilogie : c’est ici et là.
Erreur n° 5 : se comporter (agir) comme si c’était le client qui vous faisait une faveur
Il n’est pas facile d’obtenir de la part de vos clients qu’ils partagent des histoires avec vous. Il peut être tentant de faire des pseudo-concours, avec des gains à la clé, dans ce but. Ce n’est pas efficace. il vaut mieux se comporter comme si on était en train de leur vendre quelque chose (se concentrer sur l’objet de la vente -obtenir des histoires- et non sur l’accélérateur de la vente). Et pour cela, il faut souligner l’intérêt qu’il y a pour le client dans ce processus. Il doit s’agir d’un schéma gagnant-gagnant.
Erreur n° 6 : déployer vos histoires clients sur un maximum de supports
Une histoire client est l’un des outils les plus facilement adaptables à une multitude de supports. Elle peut se décliner sur le web, dans les médias sociaux, en face à face, dans un consumer magazine… Pensez cross-média, mais surtout : transmédia. Faites en sorte que chacun des médias que vous utiliserez soit connecté aux autres, apporte quelque chose de spécifique, de différent à l’histoire et que la conjonxion de ces médias donne un résultat plus grand que leur simple addition.
Voilà, vous êtes parés pour ne pas faire d’erreurs de storytelling dans une relation client.