666 Park Avenue // Saison 1. Episode 6. Diabolic.
Après avoir développé plusieurs intrigues, 666 Park Avenue continue de les exploiter avec beaucoup d'intérêt. Notamment celle de Jane. La police commence à enquêter sur les meurtres qu'elle
semble voir. Et elle va évidemment perdre toute crédibilité quand elle va avouer être attaquée par un fantôme. Petit à petit, je trouve que la folie potentielle qui guête Jane pourrait être un
axe important de développement par la suite. La série utilise assez bien l'une de ses héroïnes afin de la mettre dans des situations plus rocambolesques les unes que les autres. C'est pour cela
d'ailleurs que 666 Park Avenue me rappelle un peu Chambre 1408 où Jane pourrait alors passer pour la John Cusack de la série. Jane aimerait bien revenir dans l'Indiana et quitter le Drake. Sauf
que d'une part on ne quitte pas Gavin comme ça, et d'autre part, Henry a beaucoup de choses à faire alors que sa carrière politique ne fait que commencer.
Alors que Henry n'avait aucune attache réelle à New York auparavant, le début de sa carrière politique est une excellente chose. Bien évidemment, 666 Park Avenue se garde de nous faire palir
d'ennui avec une exposition trop longue. Mais c'est aussi un défaut dans le sens où du coup, la série ne prend pas vraiment le temps de nous introduire ce qu'il va se passer dans les prochains
épisodes. Je suis certain que le potentiel de Henry est bien plus important que la série ne semble le laisser sous entendre. En effet, depuis le début de la saison Dave Annable semble être un
personnage secondaire de l'équation. De son côté, le Dr Scott Evans incarne l'intrigue de la semaine. Il s'agit d'un docteur qui accepte un prêt de la part de Gavin afin de l'aider dans ses
problèmes financiers, sauf qu'il va préférer utiliser cet argent pour parier et ainsi perdre tout cet argent. L'avantage c'est que Gavin a créé une porte de sortie pour un personnage (Scott va
surement se retrouver éliminé dans le prochain épisode).
Note : 5.5/10. En bref, un épisode en deçà du reste de la saison certes mais pas dénué d'intérêt sur ce qu'il développe.