Tu es la rose qui fleurit dans mon cœur
Tu es le diamant qui me décore l’intérieur
Tu es le mouchoir qui essuie mes pleurs
Et tu es la force qui enlève ma douleur
…
Quelques petites coquilles seulement. Je trouvais que le ti-cul avait de l’audace pour se promener entre les voitures afin de vendre sa poésie aux pressés qui sortent de l’épicerie les mains pleines de sac. Alors que lui, bien évidemment, a les poches vides d’argent. Je n’ai pas trop regardé, on devient allergique à ces vendeuz de n’importe quoi ou à ces jeunes ‘Maximum security’ qui nous sautent dessus à la sortie de tout commerce qui attire le blanc. Jo, elle, s’est arrêtée et elle a acheté. Je ne sais pas trop combien de kob le ti-cul a pu faire dans cette soirée aussi noire que froide de chaleur humaine, il faut espérer que sa créativité lui soit payante. J’espère surtout le revoir sur un stationnement en train de vendre sa poésie, moi aussi je vais partager ma richesse.