Fruits Basket,
Tome 3
de Natsuki TAKAYA Delcourt,
2006, p. 190
Première Publication : 1999
Natsuki Takaya est une dessinatrice japonaise de manga
née le 7 juillet 1973 à Shizuoka, au sud de Tōkyō.
Au Japon, Fruits Basket (qui peut signifier "corbeille de fruits")
sort par chapitre dans la revue japonaise appelée Hana to yume.
Par la suite les chapitres sortent sous forme de volumes reliés.
La parution de la série s’est terminée au chapitre 136.
Fruits Basket comporte 23 tomes.
Il existe aussi un anime de 26 épisodes basés sur
le début du manga (les 6 premiers volumes).
♣ Tome 1♣
♣ Tome 2♣
Je pense que cette chronique sera assez courte. Je ne regrette pas d’avoir pris la décision de chroniquer chaque tome un par un des séries de mangas ou de bande-dessinées que je suis, mais cette fois-ci, contrairement aux autres fois, je n’ai pas grand-chose à dire.
La seule chose à retenir, véritablement, c’est l’apparition d’un nouveau membre de la famille Soma (celui qui se transforme en vache), du même âge que le jeune Momiji (mais physiquement très différent) : Hatsuharu. Ce nouveau jeune homme semble avoir quelques soucis, comme beaucoup d’autres membres de la famille Soma, pour contenir ses émotions et surtout ses colères… Mieux vaut ne pas être dans les parages quand son côté « dark » prend le dessus sur l’autre…
Tohru reste discrète, effacée et assez « malléable » dans ce tome, mais elle est tellement gentille qu’on ne peut que l’apprécier. Yuki m’a semblé un peu moins présent mais fidèle à lui-même. Kyô avec son caractère de cochon (qui cache en fait une grande sensibilité) continue de m’intriguer et reste mon personnage préféré pour le moment. Shiguré, plus secondaire, est l’élément un peu comique de la bande, toujours en retard dans la rédaction de ses romans et devant échapper à la furie de son éditrice qui le traque jusque chez lui…
Fruits Basket c’est un manga qui offre une grande palette d’émotions et ce tome ne fait pas exception à la règle : tendresse, humour, amitié, mélancolie… Je n’ai rien à lui reprocher, si ce n’est le manque d’éléments très « importants » ; mais je suis consciente que dans une série aussi longue (plus d’une vingtaine de tomes), certains opus sont forcément moins indispensables que d’autres…