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Le 20ème Art.

Publié le 31 mars 2008 par Josst


Sur grand écran comme partout, le "manichéisme qualitatif" rode, scindant d'un coup de baguette étymologique, les productions cinématographiques du monde en deux parties distinctes.

Il y a le Bien, les bons films de "presque" tous genres : (- je dis presque parce que certains genres cinématographiques seront quasiment tout le temps considérés comme mauvais voir impossibles à apprécier sous l'effet du simple appareil génital qui définit notre statut sexuel-)

Dialogue illustratif:

Raymonde"- Chéri, on se matte le dernier Coppola?
Jean Pierre - Ouai, c'est
l'homme sans âge, c'est ça heinh?
R - Non je te parle de la fille Coppola..., tu sais c'est Marie Antoinette, le chef   d'oeuvre historique rose bonbon et passionné hyper-stylisé ou la réalisatrice parvient à instaurer, malgré l'aspect coercitif du format, une atmosphère enlevée doublée d'une iconoclastie déroutante.
J.P.- ...T'as pas Rambo IV?"

Et puis il y a les Mauvais. Les films qui se caractérisent par leur ostensible nullité artistique, leur absence d'imagination.
Jeu d'acteur inexistant, effets spéciaux "ultra-kitsch", dialogues télétubies et raccords douteux...

Du mauvais, qui prend soudain toute sa valeur au coin d'un canapé, le cerveau branché sur le canal second degrés...






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