Le maire gauchiste de la capitale poursuit son obsession à transformer la Ville Lumière en repère à bobos écolos et en parc d’attraction. Inventeur de l’embouteillage de nuit et promoteur de l’interdiction de la libre circulation (une attitude très démocratique), il poursuit sa dictature anti-moteur thermique en voulant éjecter les deux-roues de plus de 10 ans, les automobiles de plus de 17 ans et les camions de plus de 18 ans (des choix dans la durée très arbitraires…) : les pauvres qui n’ont pas les moyens de changer de véhicule apprécieront…
Ce n’est pas tout, il entend aussi réduire la circulation à 30 km/h dans Paris pour augmenter encore la teneur des embouteillages, cela va sans dire. A cela s’ajoute la création d’une éco-taxe imposée aux camions : les livreurs et les entreprises de transport apprécieront… (On remarquera la propension hallucinante des gauchistes prédateurs au pouvoir à créer des taxes et encore des taxes et toujours des taxes pour alimenter leur politique dévastatrice…)
A l’annonce dans la presse de cette énième action de métamorphose de la capitale française en Musée pour vieux bobos, pour écolos arthritiques et pour touristes au ralenti, les commentaires sont allés bon train.
« Tout cela ce n'est que de la poudre aux yeux sans valeur, car les mesures franco-francaises pour éradiquer la pollution semblent considérer que la pollution des autres pays ne passent pas la frontière. La Chine ouvre une centrale à charbon par jour, l'Allemagne va en créer pour compenser l'arrêt du nucléaire. Le problème existe et il est mondial. Assommer les français de restrictions, de taxes, de contraintes de circulation pour des résultats minimes ne fait que présenter l'écologie comme un repoussoir. C'est stupide et contre-productif pour une écologie pensée », écrit Regard dans Les Echos du 31 octobre. « Heureusement qu'il y a une vie en dehors de Paris ;-))) !! Moi, ce sont les écolos qui me polluent ! » renchérit Fernande. « Enfin, la ville à la campagne, les pauvres et les travailleurs dehors. On restera entre soi, tranquilles, entre exonérés d'ISF par les œuvres d'art. On appelle ça la gôche ! Allez l'UMP, les cocos, bougez vous, faut que ça pète » invite Poivre... Faut que ça pète, oui, mais n'est-ce pas prendre le risque de générer des gaz à effets de serre ?