... Oui, une fois de plus, vendredi revient et ce, malgré s'être caché derrière un jeudi chômé mais eh oh, ça va, on ne me la fait pas à moi. Nous sommes donc bien vendredi et malgré le fait que les lecteurs et lectrices de ce bordel vont probablement se tarir tel neige au soleil du fait du pont, le bordel, lui, est sur le pont et hissez ho matelot et souquez ferme et à l'abordage quand même. D'autant que le bordel fut planétaire cette semaine avec Sandy qui se tape, Haïti, Cuba (on a tendance un peu à l'oublier) les USA et New-York (diantre, c'est horrible, des gens civilisés qui ne vont pas avoir d'électricité pendant quelques heures. Mais comment vont-ils Twitter ? Argh, que la vie est cruelle), avec également Halloween de partout qui nous cassent grave les bonbons (Trick or treat ? Et ma main dans ta gueule ?), avec Benjamin Biolay dégoûté par le maillot de Saint-Etienne (l'info la plus dure de la semaine), avec Disney qui rachète LucasFilm et compte faire un épisode VII, comme il y eut Saw 7, Massacre à la Tronçonneuse 7 et Buttman à Rio 7 (bref, on s'en fout), avec le PSG qui veut mettre 100 millions sur la houpette de Cristiano Ronaldo (une honte), avec un mariage tragique en Arabie Saoudite où un convive, voulant fêter l'événement a tiré en l'air comme de coutûme, sur un cable électrique, pas comme de coutûme, et a, de fait, électrocuté 25 et en blessant 30 autres. Un vrai winner celui-là. Bref, c'est vraiment le bordel de partout et quoi de mieux qu'un petit bisou plein d'amour pour nous faire oublier tout ça.
Mais comme je sens que votre âme rebelle sous-jacente ne demande qu'à s'exprimer, puis-je vous proposer ce magnifique tee-shirt Viva la Revolucion et tout ça. Un Tee-Che, en quelque sorte pour exprimer haut et fort votre iopinion dans la rue et si en plus, vous ne souhaitez pas que ça se sache trop, n'hésitez pas à arborer ce très beau masque Jason by Vuitton qui fera mouiller la petite culotte d'étudiante de la première japonaise qui passe.
Pour ces dames, un petit étui Iphone trop choupidou, une bague Minnie certes mais maxi prix avec des diamants de partout qui vous rendront irrésistible aux yeux de n'importe quel Mickey de balnlieue ou non. C'est très bien la banlieue.
Des gars qui ont tout compris à la science du marketing du designing de l'emballage, une petite alcôve suspendue pour la sieste, un peu de nourriture autre que spirituelle et nous allons pouvoir poursuivre dans ce bordel. Notez que nous pourrions, à cet instant, décider de reculer dans ce bordel et de relire à l'envers ce bordel ce qui donnerait tiarennod iuq ec ledrob ec srevne'l à eriler mais en fait, non.
Par exemple, bavons devant les meubles d'Anthony Hartley. Attention, vous coulez.
Pâmons-nous devant les essais typologiques de Tony Zibietzky.
Gaussons-nous, aha ha haaa c'est fait, de cette campagne maligne et idéalement placée.
Et tout de go, profitons de concert de ces mediators par milliers, du travail d'Audrey Kawasaky, oui, comme Hepburn et de ce non moins délicieux Troopankhamon de Neil Hanvey, comme ça, ce sera fait.
Passons à Jerry qui vole de la lingerie, ah non, correction, avec de la lingerie, des pilules pour revivre la première fois encore et encore mais pas sûr que ça se vende beaucoup, une petite infographie sur l'essentiel IMDB, une statue qui s'est libérée des coups de fouets de Sandy, un pachyderme en gros, gros plan, une panthère en suspension, un macareux soucieux et un oasis en plein Orégon et on est bon.
Bons pour passer la porte suivante comme disait Aldous Huxley , pour prendre son petit-déjeuner par les pieds, pour ne pas oublier de faire un calin aujourd'hui, à qui vous voulez mais faites-en un et pourquoi pas un petit Rubik's Cube sur la plage mais c'est en option facultative et en plus, c'est coeff 1/2.
Descendons si vous le voulez bien. Ca fait du chemin.
Dans ce monde qui ressemble chaque jour un peu plus à la prophétie d'Orwell, posons-nous la question suivante : mais boudiou parfois qu'est-ce que les gens ont donc dans la tête, hein, quand même ?
Poursuivons avec l'évolution capillaire de Dana Scully car sait-on jamais, peut-être qu'un jour dans un dîner, ça pourra vous servir, laissons Challenger sortir des cumulus tel Priape de la jeune nubienne ou Malko de la superbe colombienne à la peau d'or dont la soie tendue par les têt... mais poursuivons.
Et pourquoi pas vers cette Lamborghini Aventador de 8000 chevaux au moins qui va jusqu'au... pfiouuu au moins aussi, si ce n'est plus, vers ce Mc Donald que Rocco Siffredi n'aurait pas renié, vers ce sage conseil d'un indien qui vaut mieux que deux tu l'auras, vers ce chansonnier de la rue Saint-Vincent à Montmartre en 1910 car après tout, pourquoi pas et vers ce petit comparatif France-Allemagne qui me fait dire que, quand même, on nous prend un chouya pour des cons parfois. Ou souvent. Enfin, bref.
Passons enfin à quelques images pour faire plaisir aux lecteurs de ce bordel et aux lectrices amateurs de belles fleurs également car je me suis fait engueuler la semaine dernière et c'est vrai que les filles peuvent plaire aux filles comme les garçons peuvent plaire aux garçons et après tout, chacun ou chacune fait comme il veut.
Et comme je suis à Tunis pour quelques jours, il était normal de rendre hommage à la plus belle des tunisiennes de toute l'histoire de l'humanité, à savoir la sublimissime Claudia Cardinale qui argh... ca y'est, je défaille.
Argh, je re-défaille.
Argh, je décède. Là, maintenant, tout de suite.
Argh, je suis encore re-mort.
Un peu de Kate Upton pour faire dans le plus moderne.
Et re-re-argh Margarita Carmen Cansini dans la jeunesse vigoureuse de ses 18 ans dans les années 30 avant qu'elle ne devienne la superbe Rita Hayworth.
Et une petite main au paquet, comme ça, en passant.
Mais comme il en faut aussi pour les garçons qui aiment les garçons et les filles qui aiment aussi les garçons, suivez le chemin qui descend vers un peu plus bas et tout le monde devrait être contenté. Enfin, normalement. Après, s'il faut aussi que je fasse plaisir aux transgenres, aux martiens et aux autres, je ne suis pas sorti de l'auberge.
Passons enfin à un peu d'art avec les sublimes créations de Tara Donovan dont j'ai déjà dû parler sur ce blog il y a fort longtemps et qui sont sublime, ce qui explqiue son retour légitime sur ces pages et puis si vous n'êtes pas content, vous pouvez toujours aller regarder béatement TF1.
Passons ensuite à cette œuvre magnifique de Vincent Kohler si vous le voulez bien.
Puis à cette sublime sculpture d'Antonio Canova (1797-1893) parce que j'aime et ici, c'est encore mon blog et j'en fais à peu près ce que je veux.
Puis à ces sublimes tableaux de Boris Tellegen pour sensiblement la même raison que pour l'image précédente.
Et ç cette très belle image de Dora Maar de 1913.
Ainsi que cette image de Claude Cahun de 1933.
Cette parade à la Nouvelle-Orléans de Willliam Claxton.
Et il est temps, n'est il pas, oui il est de passer aux célèbres Messages à Caractères Informatifs qui concluent généralement ce bordel du vendredi, principalement au niveau de la fin mais après, vous faites ce que vous voulez et vous pouvez aussi commencer à le lire par la fin car c'est vous qui voyez et je ne suis plus maître de rien à ce stade.
©James Joyce (l'autre)
Et voilà, c'est tout pour aujourd'hui mais vous pouvez aussi s'il vous reste un peu de place vous faire les articles de la semaine avec argh Dan fante dans De l'alcool doux et du génie et Family Business II : le retour et Drenk schon et Scandinavigation et c'est à peu près tout pour aujourd'hui mais n'omettez pas avant de partir de me laisser une petite obole sous forme de like avec le joli bouton "J'aime" ci-dessous pour partager à qui mieux-mieux ce bordel sur Facebook, de Twitter ce bordel sur toute la Twittosphère ou de le partager par mail, sur Linkedink, sur Google + ou sur ce que vous voulez. Sur ce, je vous souhaite un bon vendredi, un bon bordel et à la semaine prochaine.
Et pour retouver tous les Bordels du Vendredi depuis l'origine des temps, soit depuis la naissance de JC (John Cleese) n'hésitez pas à cliquer sur le petit lien ci-joint : Le Bordel du Vendredi
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