The Inbetweeners (US) // Saison 1. Episode 11. Spa Time.
Il ne reste après "Spa Time" qu'un seul épisode et malgré tous les défauts de la série je n'ai envie de retenir que le meilleur. Car finalement, elle était quand même très plaisante cette petite
série. Derrière moult gag, globalement l'épisode ne s'en sort pas trop mal. De plus, il innove lui aussi par rapport à la série originale et c'est aussi ce qui me plait avec The Inbetweeners par
moment. Elle nous fait voir un visage différent et bien écrit des divers personnages que j'ai pu connaitre dans la version anglaise. Je crois d'ailleurs que The Inbetweeners version américaine ne
peut être apprécié que par les fans de la version anglaise qui l'on regardé (comme moi) sans l'abandonner par principe de copie. "Spa Time" était donc un épisode tout à fait correct, notamment
parce qu'il se permet d'enchainer quelques histoires rocambolesques et correspondant encore une fois à l'adolescence de nos jours. Prenons l'ensemble du car wash avec les jeunes filles en petite
tenue.
Evidemment qu'ils étaient en chaleur et qu'ils allaient être rapidement refroidi alors que leur plan d'avoir en ligne de mire des belles poitrines va être ruiné par une lance à eau. C'est surtout
Jay que j'ai adoré dans cette partie de l'épisode. Ce personnage parvient toujours à sortir la réplique la plus drôle dans un épisode. Mais il avait également pu être touchant comme le démontrait
quelques uns des épisodes précédents (quand on se concentre sur autre chose que son grand manque de maturité). Je peux comprendre que The Inbetweeners ait irrité quelques téléspectateurs (et
notamment ceux qui ont déserté en cours de route). Disons que la série n'avait pas su dès le départ être accrocheuse. Il lui a fallu quelques épisodes pour se roder et nous offrir alors quelque
chose de bien plus fun et libéré de tous ce que la série originale avait déjà pu faire précédemment. Du côté, la petite visite au spa a permis là aussi de nous offrir quelques bons moments.
Notamment avec Simon complètement enveloppé de boue qui va prendre développer une phobie du temps qui passe alors qu'il n'a qu'une envie : retrouver la femme de sa vie.
Note : 5/10. En bref, sans être exceptionnelle, The Inbetweeners continue d'être cette comédie légère très adolescente.