Suite

Publié le 30 mars 2008 par Jfa

Après une fin de semaine marquée par “l’ouverture” estrosienne et une franche colère, nous avions samedi soir le Nième repas de la Commission Cuisine . Les fourneaux étaient exceptionnellement tenus par mon fils qui avait souhaité inviter tous les membres.

Un des convives, fêtant un très heureux évènement, avait régalé d’un Dom Pérignon 99 en ouverture du repas ainsi que d’un magnum d’un autre champagne jusqu’avant le café. Les récalcitrants disposant de Sancerre blanc.

Soirée commencée à 10 convives, finie à 11, discussions politiques exclues d’entrée et des plats de classe professionnelle.

Soirée commencée à 20h, finie à 3 heures largement passées, 3 heure d’avant le changement d’heure… Heureusement que le lendemain était un dimanche.

L’ambiance d’après-café s’est subitement déchaînée à partir d’un vieux morceau disco (qui, je vous l’assure, n’est pourtant pas ma tasse de thé) et, tout en restant tout à fait décente, la soirée a permis quelques photographies qui pourraient grassement enrichir un maître-chanteur. Heureusement pour les “pris sur le vif” que ma retraite est à peu près confortable.

La fête, dans son acception païenne, purge les éventuelles tensions d’un groupe, re-soude les liens et, même si le lendemain fût, en ce qui me concerne, un peu ensommeillé (ce qui m’a empêché de faire mon marché…) mais sans mal de tête ni bouche pâteuse, cette soirée restera longtemps, j’en suis persuadé, dans la mémoire de la plupart de ses participants.