TF1: Sommaire de « Sept à huit » ce dimanche 28 octobre

Publié le 28 octobre 2012 par Buzzmedias @buzzmediasnet

Ce dimanche 28 octobre à 18h00, Harry Roselmack  présentera un nouveau numéro du magazine « Sept à huit » sur TF1. L’émission proposera notamment une enquête sur les les sangliers dans la ville et un portrait du comédien Gad Elmaleh. 

buzzmedias.net vous propose de découvrir le sommaire de « Sept à huit » ce dimanche 28 octobre:

- Les sangliers dans la ville: Pendant des siècles, ils étaient chargés d’éloigner les loups des habitations. Désormais, dans le Gard, les lieutenants de louveterie traquent un autre animal nuisible et nettement plus gros : le sanglier. Dans les villes et villages, les dégâts qu’ils causent sont considérables : jardins dévastés, stades de foot retournés, vignes ravagées mais aussi accidents de la route mortels.  Dans cette région, la prolifération devient préoccupante : 21 000 d’entre eux ont été abattus en 2011, un record en France, mais les sangliers sont toujours là…

- Nounous à tout prix: Cela fait presque deux mois qu’elle cherche une solution de garde pour Flavio, son fils de trois ans. Comme Anne-Béatrice, chaque année à la rentrée, 95 000 familles partent à la recherche d’une nounou. Castings d’étudiantes, petites annonces,  entretiens d’embauche… la chasse au profil idéal s’apparente parfois à une mission impossible. Stéphane Sanchez, David Peresseetchensky et Vincent Delmotte ont suivi Anne-Béatrice, Bérangère et Isabelle, trois mères de familles dans leur quête de la perle rare.

- Bataille pour Elise: Le 20 mars 2009, le visage tuméfié de Jean-Michel André apparaît sur les écrans de télévision ; il raconte que sa fille de 3 ans et demi, Elise, vient d’être enlevée. Et il accuse sa femme, Irina, une Russe, avec qui il est en conflit. Aussitôt, une alerte enlèvement est déclenchée.  Après quatre semaines d’une traque qui aura mobilisé toutes les polices d’Europe, la petite fille est retrouvée à la frontière hongroise. Sa mère, Irina, est avec elle. C’est elle qui aurait commandité cet enlèvement pour la ramener dans son pays, en Russie. Mardi 30 octobre, Irina Belenkaya sera jugée pour enlèvement par le tribunal correctionnel de Tarascon. Nous l’avons rencontrée. Quel regard porte-t-elle aujourd’hui sur cet épisode ? Quels rapports a-t-elle avec sa fille Elise, qui vit aujourd’hui à Arles avec son père ?

- Expulsions: Pour Maître Morfoisse, la fin octobre, c’est la haute saison. Chaque année, avant le début de la trêve hivernale, cet huissier de justice à Tours fait la tournée des familles à expulser. A chaque fois, il est accompagné d’un serrurier et assisté de policiers. Face à lui, le plus souvent, des locataires qui n’ont plus les moyens de payer leur loyer. En quelques minutes, certains se retrouvent à la rue. D’autres parviennent à négocier in extremis un sursis. Marie Peyraube et Mathias Denizo ont pu suivre quelques-unes des 13.000 expulsions locatives qui se pratiquent chaque année en France.

- Enfants esclaves: Magdala a 11 ans, mais elle n’a jamais touché un cartable ni un cahier d’écolière. Magdala est une enfant esclave.  En Haïti, on les appelle les Restaveks.  Un mot créole qui signifie «Reste avec ton maître». Des enfants envoyés en ville par leurs parents dans des familles de la classe moyenne à la recherche d’un domestique. Une pratique ancienne, théoriquement illégale, mais tolérée par les autorités. Les Restaveks préparent les repas, emmènent les enfants de leurs maîtres à l’école – souvent en les portant sur leur dos pour ne pas qu’ils se salissent. Ils ne reçoivent aucun salaire, dorment sur un carton, mangent les restes. Un mineur sur dix serait concerné. Un document rare et bouleversant sur Magdala, Jean Pierre, Lourdie, sur ceux qui les exploitent,  mais aussi sur leurs parents, qui les ont abandonnés.

- Cash: C’est l’un des comédiens préférés des Français qui offre à l’écran un nouveau visage, loin des comédies qui ont fait son succès : Gad Elmaleh est le héros du nouveau film de Costa-Gavras, « Le capital ». Il joue le rôle d’un banquier sans scrupule qui se vante de « prendre aux pauvres pour donner aux riches ». Pour coller au personnage, il a même dû adopter une nouvelle gestuelle. Gad, le gosse de Casablanca, issu d’un milieu modeste, se confie à Thierry Demaizière. Il parle de cette envie, depuis tout petit d’être connu.  Il reconnaît bien gagner sa vie, et évoque même son « devoir de solidarité » lorsqu’il paie ses impôts. C’est le portrait de la semaine par Thierry Demaizière et Eric Dumont.Google+