Pour le journaliste, l’équipe de Carlo Ancelotti a été fidèle à elle-même : « le PSG nous a fait une « PSG » à Picot, c’est-à-dire une première mi-temps médiocre – même si c’est cette fois la médiocrité s’est arrêtée au bout de 30 minutes – et une bien meilleure seconde période. Un match que Paris a commencé avec quatre joueurs à vocation offensive. Ce qui a prouvé une chose, c’est que le problème n’est pas dans le nombre d’attaquants mais bien dans l’animation et surtout l’implication de tous » analyse Pierre Menès sur son blog.
« Le petit Verratti, même s’il est toujours aussi à l’aise avec le ballon, a eu de gros problèmes sur le plan défensif et a été à deux doigts de se faire sortir par monsieur Castro. Après le repos, Ancelotti a opéré un vrai recadrage tactique en sortant Gameiro et Verratti pour Bodmer et le très intéressant Rabiot, ce qui a rééquilibré le milieu et permis à Ibrahimovic de jouer devant » a-t-il ajouté.