- Les nuages s’évaporent carressant les montagnes,
- les badauds agrippés au garde-fous, blémissent
- n’ayant pour seul musique que le souffle du vent,
- je dévale en piqué, frolant le haut des cimes, plongeant dans les vallées.
- Je suis vivant, j’existe.
A regarder plein écran…et dans le noir.