Depuis le 1er janvier, vous avez désormais le choix entre le prélèvement libératoire forfaitaire (PLF) ou l'imposition au barème progressif pour la fiscalité de vos dividendes d'actions ou de titres de sociétés. Mais attention à bien choisir.
Avez-vous intérêt à opter pour le prélèvement libératoire forfaitaire ? - Simulations faites, l'option pour le prélèvement forfaitaire libératoire n'est fiscalement intéressante que si les trois conditions suivantes sont toutes réunies : Etre imposable à la tranche marginale la plus haute de l'impôt sur le revenu (40%) - Percevoir plus de 39.400 € de dividendes pour un couple ou 19.700 € pour une personne seule et ne pas bénéficier du bouclier fiscal.
(Il faut respectivement, en tenant compte d'une rentabilité moyenne des dividendes de 3%, disposer d'un capital investi en actions et en titres de sociétés de plus de 1,3 million d'euros pour un couple et d'un capital de plus de 650.000 € pour une personne seule).