Si je tombe ne riez pas
Mon ivresse n’est que passagère
Une chute de mélancolie qui veille
Je bois tout seul
Et lève ma coupe
A cette ombre qui en vain
Me poursuite chaque nuit
Parfois le ciel et la mer se confondent
Et les statues de chair restent muettes
Foudroyées dans leurs plus beaux atours
Richard Taillefer.
In L’éclisse du temps.