Un nouveau réseau social est lancé. Il s’appelle Pheed.
Son originalité réside dans la monétisation de son compte en faisant payer l’accès à son profil. Deux options existent :
- abonnement mensuel,
- paiement à la consultation d’un événement (par ex. voir un concert ou une émission en direct).
Le partage se fait en 420 caractères soit le triple d’un tweet ou via des éléments multimédia. L’interface graphique est agréable. Il est également possible de poster des photos, audios ou vidéos en temps réel (broadcast). Pour chaque pheed publié, on a les pictogrammes cœur et cœur brisé pour j’aime et je n’aime pas, ce qui permet de faire la balance entre les opinions positives et négatives contrairement à, pour l’heure, Facebook et Google+. Le pheed peut être partagé sur Facebook, Twitter ou Google+.
Il démarre fort aux Etats-Unis et a déjà attiré des peoples. Ce modèle payant serait d’après les créateurs synonymes de meilleure qualité. Les revenus étant partagés entre l’internaute qui a des abonnés ou des consultations payantes et le réseau social lui-même, sachant que l’option gratuité est également possible. Toutefois le marché est encombré par une kyrielle d’acteurs et la formule payante, si elle n’est pas synonyme de scoop ou d’exclusivité, pourrait ne pas permettre une pérennité suffisante à l’outil.
Il est également possible pour l’heure d’ouvrir son compte Pheed via les deux réseaux sociaux incontournables, Facebook et Twitter. Ce qui est rapidement fait depuis Twitter (cf. compte Pheed sur Twitter) où ensuite on peut modifier ses paramètres, ajouter sa date de naissance et quelques autres informations additionnelles, notamment le paiement avec numéro de cartes bancaires, etc.